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Les changement scolaires sont-ils un facteur de l'illétrisme ?

Dissertation : Les changement scolaires sont-ils un facteur de l'illétrisme ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  4 Novembre 2015  •  Dissertation  •  571 Mots (3 Pages)  •  931 Vues

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RENIER MARIE

PELLEGRINI CAMILLE

SCHWARTZ CALBA JUSTINE

GROUPE 13H/15H

                                                Synthèse

        La lecture est le socle de l’apprentissage à l’école primaire.

Trois penseurs se demandent en quoi la négligence de la lecture à l’école  serait un facteur de l’illettrisme.

              La lecture est une base qui s’acquiert à l’école, qui demande beaucoup de capacité, or qu’apporte t-elle ?

         Elle permet de peaufiner une base solide, pour la poursuite des études. Chevènement et Romily pensent que la lecture permet un accès au monde de la réflexion, de la pensée, et aux disciplines.

        Cette maîtrise permet une bonne réussite professionnelle. Il est vrai qu’au sein des entreprises il est nécéssaire d’avoir une lecture fluide, compréhensible, car toute forme d’écrit ou d’audiovisuel nécessite une bonne compréhension. Chevènement exprime le fait que les patrons recrutent plutôt des personnes sachant lire que des personnes  maitrisant la technique. La lecture est un facteur d’intégration sociale. Le progrès technique apporte un questionnement sur l’audiovisuel. Selon Chevènement et Romily l’image est responsable de passivité, d’un manque de lecture. Mais l’audiovisuel ne supprime pas la lecture, l’image a besoin du dynamisme de la lecture. La lecture introduit la dimension nécéssaire de la critique et de la réflexion.  

        L’éducation a t-elle adoptée une méthode moderne qui entrainerait des défaillances?

Au XXI ème siècle, est née une nouvelle méthode d’enseignement, c’est à dire un relâchement d’autorité, un excès de liberté des écoliers. Alain et Romily qualifient l’école comme « l’école de la paresse », une faible instruction, avec un manque de lecture. L’école n’a pas pour aptitude d’éveiller des connaissances mais les déverser sous une forme théorique, sans prêter attention à la curiosité de l’enfant.

Le problème de l’enseignement est toujours présent, Chevènement et Romily expliquent qu’étant jeune les capacités sont développées, or le laxisme entraine la passivité. Ce changement creuse les écarts de niveau.

        L’enfant  ne peut démarrer de longues études sur une base défaillante. Selon les auteurs, il faut accentuer l’apprentissage de la lecture. L’apprentissage méthodique tel que le par coeur ,est un exercice nécéssaire  pour l’enfant lui permettant une réussite scolaire et professionnelle. La remise en place de cet exercice est primordiale, grâce aux compétences naturelles des enfants. Or si la méthode moderne engendre des causes à effets qui vont interagir sur la vie des individus.

        Il y a un million d’analphabètes en France. Les enseignants doivent parvenir à trouver une solution pour le bien de tous.

Aujourd’hui une personne analphabète possède un handicap, elle n’a pas la même liberté qu’un individu maîtrisant la lecture. Alain et Chevènement s’accordent à dire qu’un individu ne possédant pas une bonne lecture, ne peut posséder une bonne réflexion, un accès  à la pensée et au savoir.

Selon Romily, la liberté s’exprime dans l’effort intellectuel.

        

440 mots.

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