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Homo sapienne, Naviaq Korneliussen

Dissertation : Homo sapienne, Naviaq Korneliussen. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  20 Octobre 2020  •  Dissertation  •  919 Mots (4 Pages)  •  529 Vues

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Dissertation finale

Les jeunes adultes vivent des périodes assez difficiles lorsqu’ils sont aux études. Plusieurs apprennent à se découvrir et d’autres la réalité de la vie. L’acceptation de soi est élément très difficile à aborder lors de cette période. L’image qu’ils veulent donner est super important à l’égard des jeunes adultes d’aujourd’hui. La société joue un rôle important sur le futur de chacun.

Dans le premier extrait de Homo sapienne, le thème de la souffrance est présenté sous le même genre que dans le deuxième extrait. On peut voir que les deux personnages souffrent énormément mais d’une différente façon. Tout d’abord, dans les deux extraits, les personnages vivent des moments très difficiles qui les poussent à essayer de fuir du monde entier. Tout le mal qu’ils vivent les poussent à trouver de nouveau moyen pour retrouver la joie. Dans l’extrait 2, Arnaq vit énormément de souffrance due à sa difficile enfance et son problème d’alcool. Dans l’extrait 1, toute la douleur de Inuk est dû à son incapacité de vivre avec son homosexualité au Groenland. D’ailleurs, cette citation le témoigne : « Les corridors dégagent des odeurs aigres, parce que les prisonniers ont commencé à moisir. La moisissure m’a laissé des cicatrices et a provoqué de nombreuses infections dans mon corps. » (lignes 22-24). Cet extrait montre une hyperbole avec le mots «moisir» lorsqu’il parle des prisonniers. L’hyperbole donne un effet de mise en valeur négative ici sur une idée qui est les prisonniers dans celle-ci. La narrateur utilise une hyperbole pour indiquer à quel point il est dur de vivre en société pour Inuk. Ici, les prisonniers sont les citoyens et les corridors sont les rues de la ville. Cette comparaison vient confirmer toute la souffrance que Inuk vit en société.  Dans l’extrait 2, cette citation le témoigne : « Merde ! Merde ! L’alcool détruit ma vie ! Ma vie est détruite ! Maudite vie ! La malédiction ne disparaît jamais ! La malédiction ne lâche jamais ! Père de merde ! Un père maudit ne meurt jamais ! » (lignes 25-27). Ici, l’auteure fait appel à une énumération qui dénombre divers éléments négatifs dans sa vie. L’énumération donne un effet d’insistance et de manifestation sur surtout éléments en particulier. Cette citation permet d’affirmer que la vie d’Arnaq est chamboulée par la consommation d’alcool et par les actes de son propre père. En bref, les deux personnages souffrent beaucoup à cause de différentes situations qu’ils doivent vivre.

Malgré leur personnalité et leur train de vie différent, ces deux personnages vivent avec une similarité : le jugement des autres dans la société. Dans l’extrait 1, Inuk vit le jugement des gens par son apparence et l’image qu’il dégage dû à son homosexualité. Dans l’extrait 2, Arnaq. Vit tant qu’a elle le jugement des autres par ses agissements et ses actes causer par son problème d’alcool. D’ailleurs, cette citation le témoigne : « Ils me regardent et attendent. Comme une meute d’animaux, ils me regardent et projettent de me mordre. Ils veulent me transmettre leur rage de chien. Je vois dans leurs regards qu’ils se réjouissent d’avance de me tourmenter et de se moquer de moi, quand dans la douleur, j’essaierai de survivre. » (lignes 13-17). Ici, il est question d’une comparaison pour montrer le jugement indirect des gens sur l’apparence de Inuk. L’effet produit de cette comparaison explicite et rend plus concrète l’idée de l’auteure. Niviaq Korneliussen compare la société avec une meute de d’animaux qui vient faire un parallèle avec la méchanceté. Lorsque les animaux sont en meute ceci signifie qu’ils cherchent leur proie donc cette comparaison permet d’affirmer que Inuk est une victime. Il est victime du jugement des gens qu’ils croisent dans la cité. Dans l’extrait 2, cet extrait le témoigne : « J’essaie de survivre. Sentiment connu. Les gens me fixent. Ils pensent, qu’est-ce qu’elle fait ? Ils pensent, pourquoi ? Ils pensent, la pauvre ! » (lignes 36-38). Ici, la narratrice utilise un procédé d’écriture pour exprimer le jugement des autres envers Arnaq. Ce procédé d’écriture donne un effet Lorsque les gens voient Arnaq plusieurs questionnements leur viennent en tête ce qui les poussent à un jugement indirect. Les phrases interrogatives amènent une forme de questionnements qui amènent les gens à se faire toute sorte d’idée sur Arnaq. En bref, le jugement des gens qui soient indirect ou direct affecte grandement les personnes qui le ressent.

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