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Français, j'accuse de Zola

Cours : Français, j'accuse de Zola. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Octobre 2020  •  Cours  •  356 Mots (2 Pages)  •  961 Vues

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Ari BUET 2A

FRANÇAIS : EMILE ZOLA 🡪 « j’accuse »

  1. Une lettre ouverte est un texte, souvent engagé, qui ne contient pas de lieu, pas de destinataire, ni de date. C’est un document qui bien qu’adressé à une ou plusieurs personnes en particulier, est exhibé publiquement afin d’être lu par un plus large groupe. Le président de la république prend connaissance de la lettre de Zola.
  2. La figure de style qui structure tout le texte est l’anaphore « j’accuse ». Cette figure de style est très efficace car elle permet de dresser une liste des principaux responsables de la condamnation de Dreyfus
  3. Le réseau lexical est celui de la méchanceté et de la cruauté. Il utilise ce réseau pour montrer la façon dont Dreyfus a été jugé, c’est-à-dire dégradé.

(« Diabolique l.2», « néfaste »l.3, « étouffer »l.8, « coupable »l.9,30, « monstrueuse »l.16, « naïve »l.18, « abominable »l.25, « accusé »l.27, « violé »l26, « crime »l.29)

  1. La figure de style que l’on trouve à la ligne 4 est une hyperbole, elle se retrouve aussi à ligne 6.  L’effet visé est que le lieutenant-colonel du Paty de Clam a continué son œuvre absurde et immorale pendant plus de trois ans.
  2.  La tonalité dominante dans le texte est la tonalité didactique car on voit bien que Zola structure sont texte  comme un livre scolaire. On voit bien les conseils, les ordres (donnés par les généraux, lieutenant, …) et la composition logique (en deux parties : 1-accusation 2- recherche de la vérité).  A la ligne 14, 17, 22, on remarque clairement qu’il y a la même tonalité, c’est le dramatique. On le note avec l’utilisation des mots violent et supérieur, personne ne peut faire face à cette injustice.
  3. Zola emprunte principalement ses arguments à la justice.
  4. Pendant les huit premiers paragraphes Zola énonce les faits provoqué par les généraux et les lieutenants. Puis, Zola s’expose en disant qu’il sait ce qu’il risque. A  l’avant dernier paragraphe, « j’attends » montre qu’il a posé les faits et qu’il demande une explication claire pour que le peuple français sache pourquoi ils ont agis ainsi.

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