J’accuse, Emilie Zola, 13 janvier 1898

J’accuse, Emilie Zola, 13 janvier 1898

Emile Zola est un écrivain et journaliste français ne le 2 avril 1840 a paris et meurt le 29 septembre 1912 a paris. Il est l’auteur de germinal, Therese raquin, j’accuse mais encore bien d’autre.

L’aurore est un journal quotidien français de 1897 à 1914. Créé par Ernest Vaughan. Le journal devin célèbre avec la publication de j'accuse par Zola. L’équipe de rédaction est composer de Arthur rang, Bernard Lazare, et George Clemenceau. Le journal est un quotidien socialiste.

L’affaire Dreyfus est une affaire devenue conflit civil ou l’on accuse le capitaine Dreyfus d’avoir livré aux allemands des document secrets à la fin de l’année 1894. Il est donc déchu de ses fonctions de capitaine et condamné a la déportation a perpétuité.

Le but de Zola dans cette article et de faire comprendre au monde que Dreyfus est innocent et n’a rien fait et que tout cela lui retombe dessus car il est juif et vit dans une société déjà antisémite. il est donc accusé à tors. Le but de Zola est de remettre les choses dans le bon contexte et de faire comprendre aux français que Dreyfus a été victime d’une erreur judiciaire.

Il la qualifie de crime sociale et d’abominable affaire Dreyfus. Cela nous apprend qu’il est révolté contre le verdict qui a été prononcé. Il dit que si il ne dénoncer pas cela il serai je cite « hanté par le spectre de l’innocent… » en ne dénonçant pas il se sentirait complice d’une abomination.

Il commence par gratifier le président et énumère ses réussites au sortir d’une période difficile le glorifie puis enchaine sur le fait que l’affaire Dreyfus va entacher de manière indélébile sa réputation et que je cite « l’histoire écrira que c’est sous votre présidence qu’un tel crime social a pu être commis. » de cette manière il espérer sans doute toucher le président dans son égo.

Le lieutenant commandant du paty de clam est expressément visé par Zola car il l’accuse d’être coupable de l’erreur judiciaire. Je cite « il est l’affaire Dreyfus toute entière …  il apparait comme l’esprit le plus fumeux… c’est lui qui imagina de dicter le bordereau a Dreyfus… et … qu’on cherche, on trouvera… est dans l’ordre des date et des responsabilités, le premier coupable, de l’effroyable erreur judiciaire qui a trait commise. »

Par le ponctuation il souligne l’absurdité de cette condamnation et le vide de ce dossier, par les points d’exclamation qui vont contraster avec je cite: « le néant de cet acte d’accusation » il va également utiliser les points virgule pour énumérer toute une série d’aberrations qualifiées de crimes, mot qu’il va répéter avec rythme pour bien appuyer encore une fois la manière absurde dont a été menée cette enquête.

La figure de style utilisée par Emile Zola est la répétition (cf question 8)

Le registre utilisé par Zola est un registre pathétique

Esterhazy est le véritable coupable, c’était un commandant français dont la trahison est le point de départ de l’affaire Dreyfus. En effet le fameux bordereau, document de prime importance dans l’affaire Dreyfus avait

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