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Extraits de Jean-Jacques Rousseau

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Par   •  11 Février 2016  •  Analyse sectorielle  •  693 Mots (3 Pages)  •  752 Vues

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Extraits de Jean-Jacques Rousseau

Les extraits «Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes» et «Émile, ou de l’éducation» du philosophe Jean-Jacques Rousseau ont été écrit en 1754 et 1762. À cette époque, au siècle des lumières, les philosophes critiquent tout. Jean-Jacques Rousseau, lui, critique le fait que la noblesse se passe le pouvoir de père en fils, puis se font de l’argent en ne faisant rien. Rousseau a aussi diagnostiqué le problème, la civilisation et l’éducation tend à nous rendre mauvais, à nous éloigner de notre véritable nature.

Dans le texte « Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes», Jean-Jacques Rousseau insiste sur les inégalités. Selon lui, il existe deux sortes d’inégalités dans l’espèce humaine, une qu’il appelle naturelle, puis la seconde qu’il appelle politique.

Dans un premier temps, la différence des âges, de la santé, des forces du corps et des qualités de l’esprit ou de l’âme sont des inégalités naturelles qui sont toutes petites. Rousseau compare souvent l’homme à l’animal dans l’état de nature, cependant il y a beaucoup d’éléments qui différencient l’homme de l’animal, pour commencer l’homme à peu ou pas d’instinct contrairement aux animaux. De plus, les animaux restent toujours pareil, ils ont peu ou pas d’évolution, comparativement à l’homme qui évolue constamment. Les hommes sont des agents libre, ils peuvent choisir les comportements qui leurs plaisent. L’homme à aussi la faculté de se perfectionner. De là vient la perfectibilité, c’est elle qui les sort de l’état de nature. Ils ont une tendance naturelle pour l’empathie. Comme le dit si bien Jean-Jacques Rousseau : « Ni bons ni méchant, ni vices ni vertus» , puisqu’il parait que les hommes, dans cet état, n’avaient aucune sorte de relation morale. Il n’y a pas de sentiment de propriété. Les hommes ne sont pas farouches. Ils sont indépendants. De plus, la pitié naturelle chez l’homme est selon lui, la plus forte.

Puis, il y a les inégalités politiques, qui sont énormes. Dans la civilisation, il y a l’amour propre, qui conduit à des actions égoïstes, qui se développe par la raison. Les différences proviennent de l’éducation, la socialisation et des institutions, le tout qui a pour but de faire accepter la propriété privée. De plus, il y a de la domination féroce. La domination se décide par celui qui a le plus d’argent, qui est le plus fort en politique, qui a le plus de pouvoir. Rousseau se questionne sur le fait d’accepter que certaines choses appartiennent à certaines personnes

Ainsi, dans la civilisation, nous sommes maintenant dépendant chacun des autres. Comme nous sommes perfectibles, on finit par s’associer avec les autres pour combler nos besoins. Nous avons accepté que quelqu’un aille le château, les terres, etc. car nous sommes dépendants. Dans la société, l’éducation sert à te faire accepter ta place. Rousseau critique la spécialisation, car avec une formation comme ça, si tu décide que tu ne veux plus faire cet emploi, tu ne peux pas rien faire d’autre.

Par contre, Jean-Jacques Rousseau se dit que peu importe l’éducation que tu as reçu, il y a toujours un petit fond en dedans de toi qui va te dire que ce que tu dais est mal.

Bien

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