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« Le lendemain du dénouement du malade imaginaire, Toinette écrit à sa meilleure amie toute l’aventure.»

Lettre type : « Le lendemain du dénouement du malade imaginaire, Toinette écrit à sa meilleure amie toute l’aventure.». Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  17 Mars 2017  •  Lettre type  •  2 670 Mots (11 Pages)  •  1 826 Vues

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MAINHARDT Océane

                                        Devoir Maison Français

Remarques :

Note :

Sujet : « Le lendemain du dénouement du malade imaginaire, Toinette écrit à sa meilleure amie toute l’aventure.»


   Chère amie,

Je viens t’écrire pour quérir de tes nouvelles. J’ai dans l’espoir que tu ailles fort bien. De mon côté, je viens de vivre une histoire incroyable au côté de Monsieur Argan pour qui je travaille depuis des années.

Je te viens raconter ses états de maladie imaginaire qui lui ont causé bien du souci avec sa seconde femme Béline. Une épouse qui n’est là que par intérêt et dont les apparences sont trompeuses. Heureusement cela s’est fort bien terminé mais que ce fut difficile de faire entendre Argan, En effet mon maître de maison est colérique, hypocondriaque, avare, opulent mais amoureux de madame Béline.

Malheureusement ce n’est pas réciproque. Je le sais car madame me faisait ses confidences.

Tout a débuté au mois de Mars. Lorsque je fus rentrée dans la maison,  monsieur Argan comme toujours m’injurie. Afin d’éviter une éventuelle querelle je fais semblant de m’être cognée, puis il vient à parler de ses « affaires » comme toujours à sa médecine. Je le plains et lui dis mon sentiment sur ces escroqueries.

Madame Angélique, la fille de Monsieur Argan, vient me conter son amour pour un jeune homme fraîchement rencontré.

Naïve et innocente, elle ne connaît rien au méandre de l’amour. J’aime beaucoup discuter avec, c’est une fille adorable.

Maître Argan dans son égocentrisme, lui annonce peu après son mariage avec Thomas Diafoirus, médecin de son état, un homme qu’elle n’a jamais rencontré. Mais Angélique souhaite Cléante et pas qu’un mari lui soit imposé. Présente à ce moment et opposée à cette décision burlesque, j’insiste en argumentant tout à tout va pour que monsieur Argan change d’avis. Il me dit clairement que le mari qu’il a choisi était pour lui. Quel égoïste ! Je lui dis de songer à se mariage mais rien y fait puis il se remet hors de lui,  me court après le bâton à la main et m’injurie encore une fois de chienne, de pendarde et de carogne. Il demande à sa fille de m’arrêter mais celle-ci est  de mon côté.  Il  la menace alors : « Si tu me l’arrêtes, je te donnerai ma malédiction » mais je suis là pour riposter à sa place «  Et moi je la déshériterai, si elle vous obéit. »

Sa femme arrive que, déjà, Argan commence à se plaindre auprès d’elle. Elle lui répond avec attention de belles paroles, elle joue bien la comédie elle y trouve son compte dis-donc !

Il raconte que je l’ai mis en colère. Pour rester fidèle je dis que monsieur voulait donner mariage à monsieur Diafoirus  puis que le parti était plus avantageux pour Angélique et qu’il était préférable de la mettre dans un couvent. Madame est d’accord avec moi et je fais ce mensonge car, moi personne de confidence, étant « fidèle » il fallait que je la garde à mes côtés. Puis je sais très bien que son objectif était l’héritage total et que si elle est au couvent tout l’héritage sera pour elle.

A ce sujet cela n’a pas loupé. Juste après, il lui parle de faire son testament pour lui montrer son amour. La bonne blague ! Elle lui fait son petit sketch en lui disant ces mots : « Je ne saurais souffrir cette pensée. » et ajoute que « le seul  mot testament la fait tressaillir de douleur ». Il lui dit d’en parler à son notaire et elle lui dit qu’il est là. Il lui dit de le faire rentrer.

Le Notaire s’appelle monsieur de Bonnefoy. Quel nom ! Il est ami avec Madame Béline.

Argan le fait installer puis le notaire lui annonce qu’il ne pourra rien donner à sa femme par son testament car que le dispositif serait nul.

L’avantage entre conjoints est un don mutuel. Argan propose d’aller consulter son avocat, mais Monsieur Bonnefoy manifeste une opposition car les avocats s’imaginent que détourner la loi est un crime. Il lui dit qu’il y a d’autres personnes à consulter pour passer par-dessus la loi et s’il prend un avocat il ne s’occupera pas  de cette affaire. Argan demande comment il peut faire pour lui donner ses biens et frustrer ses enfants. Monsieur Bonnefoy lui propose deux solutions.

Béline fait sa petite comédie, en lui disant  qu’elle ne peut vivre sans lui, qu’elle serait malheureuse pour le perdre et continue sur de beaux discours, elle n’en pense pas un mot. Argan prend la deuxième décision qui est celle de mettre entre les mains de  sa bien-aimée vingt mille francs en or ainsi que deux billets payables au porteur.

Beline dit qu’elle ne veut point de tout cela mais cherche à savoir de combien est son alcôve et les deux billets.

Il ne voit pas, qu’elle ne pense pas qu’à son argent !

Ils procèdent au testament dans le cabinet de monsieur Argan.

Pendant ce temps j’annonce à Angélique ce que sa belle-mère est  en train de faire mais Angélique, ne demande qu’à disposer de son cœur.  J’ai toujours été du parti d’Angélique. Jamais je ne l’abandonnerai.

Elle veut que je fasse donner avis à Cléante afin que son  mariage soit conclu.

Le lendemain matin, Cléante me demande pour parler à sa destinée, je lui dit qu’elle est retenue. Pauvre jeune fille elle n’a ni le droit de sortir, ni parler.

Cléante se fait passer comme ami du maître de musique avec pour argument s’être fait envoyé à la place. J’annonce donc à mon maître la venue de ce jeune Monsieur.

Cléante parle trop fort,  je l’interromps  et lui dit de parler moins fort. Il complimente Monsieur , d’être content qu’il se porte mieux,  la chose à ne pas dire.

Je le reprend et lui dit qu’il se porte fort mal, qu’il est au plus bas je n’en pensais  pas un mot tu sais Anne.

Maître Argan acquière tout ce que je dis. Cléante se présente alors comme il le devait.

Argan refuse l’exercions  du cours de musique dans la chambre d’Angélique pourtant j’insistée.

Angélique, surprise de la présence de celui qu’elle aime Son père lui demande ce qui l’a rend de la sorte, elle raconta un conte à dormir debout qui fut visiblement cru.

J’annonce l’arrivée des Diafoirus. Cléante était sur le point de partir mais Maître Argan l’arrête et lui dit qu’il peut rester, qu’il est entrains de faire marier sa fille au médecin Thomas Diafoirus, Argan invite le maître de musique mais aussi le fameux remplaçant. Plutôt bien partit.

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