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Vie de Mérimée

Commentaire de texte : Vie de Mérimée. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  20 Mai 2014  •  Commentaire de texte  •  618 Mots (3 Pages)  •  638 Vues

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Mérimée, Prosper (1803-1870), écrivain français appartenant à la génération romantique, surtout connu pour ses nouvelles fantastiques.

Vie de Mérimée

Né à Paris dans une famille d'érudits, Prosper Mérimée fit des études de droit tout en menant une vie mondaine, fréquentant les salons littéraires, où il rencontra notamment Hugo, Musset et Stendhal. Il attribua ses premières publications, le Théâtre de Clara Gazul (1825) et la Guzla (1827), à des auteurs aussi imaginaires qu'exotiques : cette mystification littéraire fit grand bruit et attira bientôt sur lui l'attention du public. En 1828, il fit représenter la Jacquerie, scènes féodales, où il tâchait de «!donner une idée des mœurs atroces du XIVe siècle!». Il publia ensuite un essai historique, la Chronique du règne de Charles IX (1829), ouvrage essentiellement constitué de portraits et de scènes typiques dans lesquelles l'Histoire semble n'être qu'un prétexte.

Portrait des personnages.

Monsieur de Peyrehorade :

C’est un vieillard très vif en bonne santé, de bonne humeur qui prend encore soin de sa personne. Il est riche propriétaire, c’est un bourgeois de province. Il cherche les choses anciennes, c’est un antiquaire assez cultivé. Il aime découvrir les antiquités leur donner des nom et d’imaginer une théorie sur eux en s’appuyant sur le latin. C’est un personnage qui se croit intelligent avec son latin. Il est peut niais et essaye toujours d’impressionner l’antiquaire de Paris. C’est un homme instruit et cultivé mais pas très intelligent et prétentieux.

Le champ lexical qui prouve qu’il est instruit est : «

Madame de Peyrehorade :

C’est une femme assez grosse qui n’est préoccupée que par son ménage. C’est une femme de province renforcée. Elle est une femme au foyer, peu cultivée qui fait la cuisine et fait plaisir à tous ses hôtes. Elle est soumise à son mari et ne le contredit pas, est intuitive et est insensible à l’art. Elle est croyante et c’est une ménagère provinciale.

Le champ lexical qui prouve qu’elle est croyante est : « elle voulait faire de ma vénus une cloche pour l’église ; encenser une idole, ce serait une abomination ; il faut bien qu’il y ai une raison pour qu’on ai peur du vendredi. »

d’autres sports comme la course à pied. Il adore le jeu de paume. Il est prétentieux et ne pense qu’au sport, il n’est pas très intelligent.

Il est prétentieux et inculte.

Mademoiselle de Puygarrig :

C’est une jeune fille de 18 ans, elle a une taille souple et délicate. Elle est belle et séduisante, elle est destinée à Alphonse. Elle ressemble à la Vénus. Elle est noble et riche. Elle est naturelle, modeste et d’une grande bonté. C’est le contraire d’Alphonse. Elle a aussi une légère teinte de malice.

Elle donne l’impression d’être belle et intelligente

L’Espagnol :

C’est un aragonais d’une quarantaine d’années sec et nerveux, d’1m80, et a une

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