Madame Vauquer

1) embonpoint

Ainsi son embonpoint apparaît à travers un champ lexical, on peut relever « grassouillet », « dodue », « potelées », « son corsage trop plein et qui flotte », « embonpoint », « petite femme » cette dernière citation accentue l’effet de rondeur.

Elle possède une silhouette peut flatteuse et de plus est elle est négligée.

2) La négligence

On le constate avec le champ lexical de la négligence « attifé », « bonnet de tulle », « son tour de faux cheveux mal mis », « pantoufle grimacés », « trénaçant », « son jupon […] dépasse », « la ouate s’échappe », « les fentes de l’étoffe lézardée ». Madame Vauquer apporte peut de soin à son apparence en particulier sa tenue vestimentaire, elle se laisse allé.

3) La vieillesse

De plus elle est une femme terne et sans éclat, « vieillotte » idée accentuée avec le suffixe péjoratif. Elle a un aspect peu aimable « ridée », « blafard », « vitreu », « fraîche comme une première gelée d’automne ». Son allure un peu triste et sa mauvaise mine est clairement représenté.

Madame Vauquer nous apparaît donc comme une femme au physique ingrat et a l’allure peu soignée c’est un portrait peut flatteur et assez repoussant que l’on constate. De plus le désordre de la présentation par rapporte à une construction plus traditionnel (portrait moral puis physique), comme l’est la pension et Madame Vauquer un peu brouillon, montre encore plus sa négligence et son désordre.

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