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Les 5 étapes du deuil

Mémoires Gratuits : Les 5 étapes du deuil. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  1 Novembre 2014  •  399 Mots (2 Pages)  •  696 Vues

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Quand quelqu'un meurt, ou que l'on subit une perte horrible on passe tous par les 5 étapes du deuil.

Tout d'abord le dénis car la perte et si inconcevable qu'on ne peut pas croire que c'est vrai.

Puis on est en colère contre tout le monde, contre les survivants, contre nous même.

Ensuite on négocie, on supplie, on implore, on offre tout ce qu'on a, on offre nos âmes en échange d'un jour de plus.

Quand les négociations échouent et que la colère est trop difficile à contenir, on tombe dans la dépression, le désespoir jusqu'à ce qu'on accepte enfin qu'on a fait tout notre possible, on abandonne. On abandonne et on accepte.

Mais ce qu'oublie de nous dire Élisabeth c'est que chaque humain est différent, et que l'on réagit tous de manière différente lorsque nous sommes confronter au combat qu'est la vie.

Il est vrai que dans des périodes de deuil nous traversons certaines de ces étapes mais pour ma part ces 5 étapes ne sont que foutaise !

Car la seul vrai étape dans laquelle je m'identifie aujourd'hui c'est la Dépression.

Rien ne sert de courir - ni même de freiner des quatre fers -, vous partirez à point. L'heure de votre mort serait inscrite dans vos gènes. À y regarder de plus près, cela ne paraît pas si absurde. De nombreux mécanismes corporels suivent un rythme naturel quotidien. Cette "horloge biologique" est naturellement jalonnée de moments où le corps est plus alerte qu'à d'autres, où la pression artérielle est plus élevée, où le coeur est bien rodé. Des chercheurs avaient déjà remarqué que certaines mutations génétiques rares pouvaient influer sur cette "horloge", conduisant même parfois plusieurs membres d'une famille à se lever à 3 heures du matin ou à ne plus tenir debout passé 21 heures.

Mais ces nouvelles recherches ont mené à une bien étrange découverte : il existe un gène partagé par la quasi-totalité de la population qui affecte la tendance de chacun à être couche-tôt ou lève-tard. Il n'influe pas uniquement sur le rythme de vie quotidien des personnes qui le possèdent : il permet également de déterminer le moment de la journée où une personne est plus susceptible de mourir.

Plus qu'une simple prédiction, ces étonnants résultats, publiés dans la revue Annals of Neurology de novembre, pourraient contribuer à organiser les horaires de travail et à planifier les traitements médicaux, mais aussi à adapter le suivi des patients vulnérables.

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