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L’emprunt dans la création artistique

Fiche : L’emprunt dans la création artistique. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Juin 2013  •  Fiche  •  1 429 Mots (6 Pages)  •  710 Vues

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Dossier CCF Art applique session 2012

Mme Cottinaud

L’emprunt dans la création artistique

Sommaire :

Introduction

Biographie des artistes

Œuvres

Etude comparative

Argumentation

Bibliographie

Conclusion

Introduction :

Je vais vous présenter mon sujet d’étude : l’emprunt dans la création artistique

Tous d’abord définir l’art : L’art est le domaine de la création. Si l’art est création, il est un domaine privilégié où ne semble régner aucune des contraintes ordinaires de la technique dans le monde du travail. L’artiste n’ayant en vue que la création et jouit de la position du créateur. Il est alors tentant de regarder l’art, sous un angle ludique, et de penser que l’art est au fond presque un "jeu", par rapport à une activité dite « sérieuse » qui serait celle du travail proprement dit.

En premier temps je vais vous présenter mon sommaire expliquant l’évolution de mon travail ensuite la biographie de trois artistes que j’ai sélectionné et leurs œuvres puis une analyse comparative de deux œuvres en second une argumentation d’un point d’un dessin et en dernier une conclusion.

Biographie des artistes :

« Jean Léon Gérôme »

Jean-Léon Gérôme, né à Vesoul en Haute-Saône le 11 mai 1824 et mort à Paris le 10 janvier 1904, est un peintre et sculpteur français membre de l'Académie des beaux-arts (fauteuil 3). Emblématique de la peinture académique du Second Empire, il compose des scènes orientalistes, mythologiques, historiques ou religieuses.

Jean-Léon Gérôme se rend à Paris en 1841. Il devient l'élève de Paul Delaroche qu'il accompagne en Italie en 1844-1845. À son retour, il se fait connaître au Salon de 1847 par son Combat de coqs, toile qui déjà illustre son souci du détail authentique et pour laquelle il reçut la médaille d'or. Il devient alors chef de file d'un nouveau courant, les néogrecs (en), qui comptait également parmi ses membres les peintres Jean-Louis Hamon et Henri-Pierre Picou1. Puis il change de genre et expose La Vierge, L'Enfant Jésus et Saint Jean, et, comme pendant Anacréon, Bacchus et l'Amour. Gérôme obtient en 1848 une deuxième médaille. Cette même année, il peint La République, prêtée par la Ville de Paris aux Lilas, où elle est exposée depuis 1922 à la mairie2. Il réalise ensuite : Bacchus et l'Amour ivres, Intérieur grec et Souvenir d'Italie (1851), Vue de Paestum (1852), Idylle (1853).

Gérôme fait des excursions en Turquie, sur les bords du Danube en 1854 et en Égypte en 1857, tout en remplissant ses carnets de nombreux dessins. En 1855, il envoie à l'Exposition universelle Pifferaro, Gardeur de troupeaux, Concert russe et une grande toile représentant Le Siècle d'Auguste et la naissance de Jésus-Christ, acquise par le ministère d'État. Sa réputation augmente considérablement au Salon de 1857, où il expose sept tableaux d'un genre plus populaire, entre autres La Sortie du bal masqué et Le Duel de Pierrot.

Son œuvre : « Le Marchand de Peaux »

Artiste : Jean-Léon Gérôme (1824–1904)

Titre : Le Marchand de Peaux

Date : 1869

Technique/matériaux : huile sur toile

Dimensions : (61.5 x 50 cm)

Jean Léon Gérôme passe pour le plus emblématique des orientalistes au XIX du siècle. Son style académique « léché » sera imite par beaucoup d’autre auteurs .Le Marchand de Peaux d’un réalisme presque photographique ,témoignage de la sensibilité pleine de délicatesse de l’artiste qui se manifeste ,clairement dans son rendu des différentes matières .

Qu’il s’agisse de la peau de tigre des reflets sur l’épée et le casque ou des nuances de couleurs du mur devant lequel le marchand est représenté tout dans ce tableau est extrêmement tactile .

« Eugène Delacroix »

Ferdinand-Victor-Eugène Delacroix, né le 26 avril 1798 à Charenton-Saint-Maurice (Seine), mort le 13 août 1863 à Paris, est un peintre majeur du romantisme en peinture, apparu au début du XIXe siècle, en France.

Il naît au 2 rue de Paris (actuelle 29, rue du Maréchal Leclerc) à Charenton-Saint-Maurice (aujourd'hui Saint-Maurice dans le Val de Marne, en proche banlieue parisienne). Sa maison natale, une grande demeure bourgeoise du XIXe siècle, existe toujours. Inscrite à l'Inventaire Supplémentaire

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