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Inert gas de Robert Barry

TD : Inert gas de Robert Barry. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  1 Décembre 2020  •  TD  •  728 Mots (3 Pages)  •  543 Vues

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Exposé

Inert gas de Robert Barry

Robert Barry est un artiste contemporain américain. Né le 9 Mars 1936 à New York.  .

Ce qui lui fait actuellement 84 ans. Il étudié sous la direction de deux artistes peintres associé a l’expressionnisme abstrait, William Baziotes et Robert Mortherwell à Hunter collège.

[pic 1]

C'est depuis les années 1960 que Robert Conçois des œuvres conceptuelles utilisant alors plusieurs médiums allant de l'installation à la performance. Une chose qu'il à appris étant cependant est ce que l'art est réellement agir. Poussant alors, la réponses vers la quêtes de l'invisible. Une personne qui l'inspirèrent était Ad Reinhardt qui pour lui pouvait offrir une issue au formalisme visuel.

[pic 2]

Electromagnetic Energy Field (1968)

 

Parmi ses œuvres l'on peut voir qu'il s'intéressait aux phénomènes physiques, champs électromagnétiques, fréquence électromagnétiques d'ultra son (ondes radio) ainsi que le gaz dans sa célèbre série intitulée inert gas en 1969, ce que recherche Robert c'est la quête d'immatérialité en transcendant les limites physiques de l'espace et du matériel.

               [pic 3][pic 4]

 

Inert Gas Series / Helium, Neon, Argon, Krypton, Xenon / From a Measured Volume to Indefinite Expansion(1969)  

                         

Aujourd'hui nous allons nous pencher sur Inert gas séries qui font partie de ses premières œuvres.

L'intitulé est imprimé par linotype sur feuille de papier écrit en bas.

Linotype c'est quoi ?

C'est une machine composée d'un clavier alphanumérique de 90 caractères permettant de produire une ligne d'un seul tenant, cela permettait une composition accélérée et plus importantes.

[pic 5][pic 6]

L'artiste a utilisé ce procédé car celui-ci se rapprocher le plus de son protocole artistique.

La liste des gaz libérés par l'artiste en personne. Tous visibles à l’œil nu. On as donc la une métaphore du processus de dispersion qui une fois terminé, revient a sont état primaire.

Il ne reste alors rien d'autres que le titre de l’œuvre comme traces de l'action réalisée.

Et c'est tout juste ça, la recherche que Robert Barry veut nous montrer c'est tout simplement l’immatérialité de la choses.

Puisqu'il a libérer un gaz inerte, sans odeur sans saveur, qui même actuellement se dissipe sur cette terre. (Sous forme de micro particule) comme dirait Antoine Lavoisier, « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ».

[pic 7]

Le côté esthétique relationnel est renforcé par le fais que l’œuvre demande un point de rendez-vous. C'est-à-dire que le seul moyen de pouvoir visualiser ce lâcher de gaz est de se déplacer jusqu'à l’œuvre par conséquent se déroule en un temps précis (événementiel) pour une audience appelé par l'artiste. L’œuvre alors suscite des rencontres et permet de se donner rendez-vous lui permettant de gérer sa propre temporalité nous dit Nicolas Bourriaud dans son livre l’esthétique relationnel. Robert Barry annonçant « un certain moment au cours de la matinée du 5 Mars 1969, un demi-mètre cube d'hélium fut relâche dans l’atmosphère. Permettant alors le déplacement de son  publique. L’œuvre d'art n'existe que par ce constat (et les photos prises par Barry en personne).

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