AMAS Myriam Goufink

AMAS[pic 1]

La groupe de danseurs fut constitué de huit danseuses occupant pendant tout le spectacle  l'espace d'un carré.Le carré qui symbolise d'après la chorégraphe le champs visuel  des rois instalé au centre de la pièce quelques siècles auparavent .  Des solos, duos et trios évoluent abondamment sur un rythme sonore électrique et lent.La lenteur joue un rôle primordiale dans ce spectacle car en effet la chorégraphie entière est basé sur l'art du yoga et des méditation tibétaines . Le plateau était vide , seule quelques écrants , afichant un compteur étaient présents , une des nombreuses limites que Myriam Goufink a imposé à ses danseurs . Les danseurs avaient pour consignes de ne pas dépasser une certaine hauteurs du sol jusqu'a un certain moment . A partir de cela les danseuses étaient maitresse de leur mouvements et devenaient elle même chorégraphe . Les costumes des danseuses sont restés très simple un haut noir basque et un petit pantalon a imprimé noir et blanc , la chorégraphe n'a pas voulu compliqué la lecture de sa danse . Myriam Gourfin a longtemps étudié ( près de 20 ans je pense) cet art de la méditation qui se rapporte au bien être de l'appareil génital féminin si mes souvenirs sont exactes d'ou la presence exclusive de danseuses .

Pardonner ma grossièreté , mais je n'ai trouvé deux adjectifs pour qualifié se que j'ai vu : assomant et soporifique , certe les danseurs ont pratiqué une danse assez compliqué , la lenteur les a obligé à travailler leur équilibre . Mais voir un soir,   du yoga tibétain , dans une salle plongée dans l'obcurité ,  pendant une heure avec un fond sonore vibrant ... Je ne critique en aucun le travail de Myriam Goufink mais cette expérience qu'elle a voulu nous transmettre n'a pas été très receptif . ce genre de spectacle doit faire participer le spectateur car on est sur une pratique du corp et de l'esprit et où peu être juste casser le quatrième mur en fesant participé certain spectateurs ou même présenter se projet artistique sous forme d'activité aurait été plus fascinant .

...