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Victor Hugo, poète prométhéen, porteur de lumière, la destination de la société.

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Par   •  27 Avril 2022  •  Dissertation  •  1 471 Mots (6 Pages)  •  275 Vues

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Français Oral (L'échafaud partie 1)

Victor Hugo, poète prométhéen, porteur de lumière, la destination de la société.

Dans ce poème en lieu avec la société se présente un portrait esthétique. De ce qu’elle a de meilleur et de pire. Dont V.Hugo critique à travers l'échafaud, il s’agit de la peine de mort. On en trouve dans les grandes rues. Surtout devant l'hôtel de Ville à Paris.

Nous verrons dans un premier temps à la

1ere strophe: une vision sacrée de l'échafaud

Puis dans un deuxième temps: au vers 10-18: une description de ce qui vient de se passer

Et finalement des vers 19-26: la place de V.Hugo et du poète au milieu de tout cela

Alors nous pouvons nous demander comment le regard du poète parvient-il à dévoiler une réalité obscure?

Strophe 1: Vision sacrée de l'échafaud

→ Au vers 1, le vers est déjà très étrange, on commence par la fin. On commence par un pronom démonstratif: “ c’ ”. Pour laisser une forme de suspens ou le sujet est tellement grave que l’on n’arrivera pas à nommer les choses. Moyen d'éviter l’horreur qui c’est passé par “c”.

→ Le temps choisi est le “plus que parfait”. On est donc loin dans le temps.

→ “Splendide, étincelant, superbe” → Rythme ternaire d’adjectifs amélioratif qui vont décrire quelque chose, probablement fini. Il garde le mystère, on sait ce que c’est 7 vers plus tard.

→ Au vers 2, nous assistons à une comparaison, ce qui incite le comportement lumineux de l’objet. “La faulx” qui fauche le blé, caractérise l'échafaud. On a ce côté lumineux, produit non sur l’herbe mais sur la cité, ayant un effet aveuglant → ébloui. Créer une catastrophe par l’image de la faulx, on sait déjà que le sujet sera basé sur la mort. La cité est éblouie par l'objet.

→ Au vers 3, “large acier” montre que le métal est large, clair grâce au soleil → “le jour faisait une clarté".

→ Au vers 4, V.Hugo est très croyant, Dieu est donc très mystérieux pour en parler, il a la vague impression d'être face à un miracle. Et qu'au vers 5, ce triangle lumineux est presque divin. “Je ne sais quoi”.

→ Au vers 5, le triangle est le triangle 3 → Père, fils, saint esprit mais qui est 1 avec l'œil qui le regarde. Symbole représentant la divinité. Cet objet semble être un objet de culte dans un temple. C’est une fois qu’il nous l’a représenté par dieu qu'il parlera de “fatal couperet” au vers 7.

→ Au vers 7, nous sommes dans une image se rapportant à la mort comparé à la mort. Double aspect → “relève”, il est puis à retomber et personnifie le couperet victorieux→ “Triomphe”, donnant une vision épique du monde.

→ Au vers 8 → cette “petite tache” désigne le sang. Mais il y a tellement de lumière qu’on ne voit pas de tache. “Ce qu’il avait fait” → “ce” du vers 1, on continue de parler de l'exécution. On est dans quelque chose d’affreux. Mais le mot "exécution" nous le fait oublier. Cette horreur initiale se retrouve dans la tache de sang, elle se cache par “petite”, et c’est par euphémisme, qu’on comprend que c’est le sang d’un homme.

vers 10-18: une description de ce qui vient de se passer

→ Au vers 10, son action va casser la mort → “un meurtre”. “Le bourreau” → “retourne” → mouvement de sens en arrière. Ça ne l’a pas affecté plus que ça. Il revient à un état intérieur.

→ Au vers 12: “Valets” → Serviteur d’un seigneur: (peine de mort). L'idée de la peine de mort a envouter le monde ainsi que les personnages importants: les juges, les pretres, ils vivent sous aucune peur de la peine de de mort. Le juge a un but de servir la justice mais la il met la peine de mort, il donne la place a la violence. Le prêtre doit être du côté du bien mais c’est fait éblouir par l'échafaud ainsi à travers l’image de dieu.

→ Au vers 13: “Tombereau terrible” → Hypallage, dès qu’on le représente pour soi, il y a quelque chose de plus violent. Il évoque une allitération en “r” et en “t”. → La charrette roule sur la terre → harmonie imitative. On est sur son son le plus vivant.

→ Au vers prochain, une allitération en “s” fait penser au sang qui coule derrière, il nous amène dans l'enchaînement de ce qui

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