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L'evolution De La Grenouille En Afrique

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Par   •  17 Décembre 2014  •  584 Mots (3 Pages)  •  998 Vues

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Le terme grenouille (verte) est un nom vernaculaire attribué à certains amphibiens, principalement dans le genre Rana. À un de ses stades de développement, la larve de la grenouille est appelée un têtard. Les grenouilles sont des quadrupèdes de l'ordre des anoures, tout comme les rainettes, qui sont en général plus vertes et arboricoles, les crapauds dont la peau est plus granuleuse et les xénopes strictement aquatiques. Tous ces termes usuels correspondent à des apparences extérieures plus qu'à des classements strictement taxinomiques.

En Europe, parmi les espèces de grenouilles les plus connues figurent la Grenouille verte et la Petite grenouille verte, la Grenouille des champs, la Grenouille rousse et, en élevage, la Grenouille rieuse.

Certaines espèces comme la Grenouille-taureau d'Amérique du Nord, la Grenouille Goliath d'Afrique ou Litoria infrafrenata (grenouille géante) sont remarquables pour leur très grande taille.

Certaines espèces de grenouilles sont élevées pour consommer la chair de leurs cuisses, d'autres servent à l'expérimentation, d'autres encore sont parfois adoptées pour l'agrément. Elles sont souvent évoquées dans les textes anciens et présentes dans les représentations artistiques. La grenouille est aussi un personnage important du folklore populaire ou enfantin sous forme d'animal tantôt répugnant et maléfique ou, au contraire, magique et bénéfique, en particulier à travers le mythe du prince ou de la princesse transformés en grenouille (ou le plus souvent en crapaud).

Étymologie et nomenclature

La racine du mot « grenouille » vient du latin rana, voulant dire grenouille, et ranucula ou ranunculus, petite grenouille. Utilisé dès l'époque médiévale sous sa forme ancienne « renoille » ou « grenoille » au XIIIe siècle, le mot « grenouille » est attesté à partir du début du XVIe siècle. Le « g » initial ayant sans doute été ajouté par évocation du cri guttural de ces animaux[1].

Le mot « grenouille » est déjà présent dans les dictionnaires de français anciens en 1606. Dès sa première édition, en 1694, le Dictionnaire de L'Académie française en donne une définition surprenante : « Insecte (sic) qui vit ordinairement dans les marais ». Insecte est corrigé en « petit animal » dans la quatrième édition de 1762 avec comme précision « quadrupède et ovipare » dans sa sixième édition. Il faut attendre la huitième édition de 1932 pour que la grenouille soit mentionnée comme appartenant à « l'ordre des Batraciens » (désormais ordre des amphibiens)[2].

Diderot et d'Alembert, dans l' Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers (1751 à 1772) décrivent d'abord la grenouille comme un « animal qui a quatre piés, qui respire par des poumons, qui n'a qu'un ventricule dans le cœur, & qui est ovipare », en distinguant les grenouilles aquatiques des rainettes arboricoles[3].

La grenouille coasse. Il ne faut pas confondre avec le cri du corbeau qui croasse.

Une grenouillette est une petite grenouille[4].

La larve de la grenouille s'appelle

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