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Analyse de la Smith House

Commentaire d'oeuvre : Analyse de la Smith House. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  2 Mars 2017  •  Commentaire d'oeuvre  •  2 216 Mots (9 Pages)  •  3 453 Vues

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I Biographie

II Travail de Richard Meier

III Le style international

IV Analyse de la Maison Smith

1 Topographie 2 Exterieur

3 Interieur

4 Mobilier

I Biographie

Richard Meier est un architecte américain né à Newark en 1934. Il a reçu sa formation en 1957, en architecture à l’Université Cornel. Il travaille pour Skidmore, Owing et Merril brièvement en 1959 et établit son propre bu- reau à New york en 1963. Il a reçu les plus hautes distinctions dans le domaine, y compris le Prix Pritzker d’architecture, les médailles d’or de l’american Insti- tut of Architectes et l’Institut royal de British Architectes ainsi que le Praemium Impériale de la Japon Art Association. En parallèle de son activité, il enseigne à la cooper Union ( 1962-1973), à Yale (1975 - 1977) puis à Harvard (1980-1981). En 1965, l’une de ses commandes, la maison Smith, le propulse dans la scène nationale. D’autres commissions pour les maisons privées ont suivi, ainsi que quelques projets plus publics. En 1967, il a commencé à travailler sur la conversion des anciens laboratoires de Bell téléphone dans Greenwich village de Manhattan pour accueillir quelque 1200 personnes dans 383 unités d’ha- bitation. Le résultat a été salué dans la communauté architecturale comme la première preuve que, nalement, les plus grandes réalisations Meier pour- raient se trouver dans des œuvres plus publiques de plus grandes échelles.

II Travail de Richard Meier

Dans la Hoffman House, un site ordinaire a permis une certaine liber- té de conception. Vue de la route, la maison apparaît comme une abstrac- tion en trois dimensions de géométries de verrouillage. Deux ensembles de carrés doubles constituent le plan: un ensemble orthogonal, les autres ayant subi une rotation de 45 degrés au point d’entrée. On obtient ain- si deux formes d’emboîtement, une parallèle à la route, et l’autre en diagonale.

Le Un moine art Centre, conçu en 1948 par Eliel Saarinen, composée d’une galerie de plain-pied en forme d’u. En 1965 I. M. Pei a ajouté un bloc au sud face à un parc public, fermant ainsi le plan en U original pour créer un terrain de sculpture interne. L’addition a été réalisé sous la forme d’une série de volumes séparés pour permettre l’expansion requise sans produire une masse importante. Ainsi, trois nouveaux ajouts ont été localisés dans le complexe existant de manière à renforcer l’ordre for- mel du régime Saarinen. Un nouveau pavillon de la cour renforce l’axe d’entrée est- ouest du musée existant. Le pavillon accueille le restaurant et salle de réunion et ac- tive la cour précédemment sous-utilisée en l’ouvrant à la terrasse par temps chaud.

Ces installations de laboratoires de recherche pour Daimler -Bens à ULM sont la réalisation partielle d’un plan pour un plus grand campus de re- cherche . Le campus est organisé comme une grille répétitive d’unités de bu- reau / laboratoire en forme de L de chaque côté d’une pelouse centrale . Dans cet espace un bâtiment abritant parapublic une cafétéria / restaurant au rez- de chaussée et des salles de réunion et une bibliothèque au deuxième étage . Ce bâtiment sert de noyau socioculturel du complexe . À l’heure ac- tuelle , ce plan est flanqué de trois nouvelles unités de laboratoire de bureau à l’ouest et par un complexe de recherche de briques face préexistante à l’est.

La jubilee Church, conçu dans le cadre de l’initiative du millénaire du pape jean- Paul II pour rajeunir la vie paroissiale en Italie, est situé en dehors du centre de Rome . Le site triangulaire est articulé de trois façons : d’abord , la division du royaume sacré vers le sud, où la nef se trouve, à partir de l’enceinte laïque au nord ; deuxième, séparant l’approche à pied du boîtier situé à l’est ; et la troi- sième, à nouveau séparer l’approche à pied , depuis le parking situé à l’ouest.

Le musée de la collection Frieder Burda de l’art du XXe siècle a été conçu pour se fondre dans le paysage du parc de Lichtentaler Allée et, en même temps , en harmo- nie avec le pro l classique de la Kunsthalle adjacent. La forme générale et les pro- portions du nouveau bâtiment correspondent à la plinthe élevée et l’entablement de la Kunsthalle, mais chaque institution conserve sa propre identité tectonique.

III Le style international

En analysant le travail de richard Meier, on trouve beaucoup de similitudes avec de grands architectes tels que le coursier, Ludwig Mies van der Rohe et d’autres. C’est pour cela que nous pouvons classer son travail dans le style international. Le style International est le nom d’un courant architectural majeur qui a vu le jour dans les années 1920 et 1930, les années de formation de l’archi- tecture moderne, dé ni par les Américains Henry-Russell Ritchcock et Phi- lip Johnson en 1932, avec un accent plus sur la forme et l’esthétique que les aspects sociaux du mouvement moderne. Le terme «style international» est entrée en utilisation via une exposition 1932 organisée par Hitchcock et Johnson. Architecture moderne: Exposition internationale, qui a déclaré et étiqueté l’architecture du début du 20ème siècle comme le «style interna- tional». Les caractéristiques les plus communes des bâtiments de style in- ternational sont les formes rectilignes, les surfaces planes tendues légères qui ont été complètement dépouillés de l’ornementation appliquée et la dé- coration, l’ouverture des espaces intérieurs ainsi qu’une qualité visuelle en état d’apesanteur engendrée par l’utilisation de la construction en porte-à- faux. Le verre et l’acier, en combinaison avec du béton armé généralement moins visibles, sont les caractéristiques des matériaux de construction . Avec l’essor de la croissance dans les villes dans la première moitié du XXe siècle, en particulier après la seconde Guerre mondiale, le style international a fourni une option de style facilement réalisable pour des projets de développement urbain grande échelle, «villes dans les villes», destiné à maximiser la quantité d’espace de plancher pour un site donné, tout en essayant de convaincre les plani cateurs locaux,

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