Greenpeace et sa lutte contre les émissions de gaz à effet de serre

    Fayemendy Manon

Greenpeace lutte contre les émissions[pic 1]

 De gaz à effet de serre

1. Evolution de l’émission du gaz à effet de serre pour les ménages français.

L’évolution de l’émission du gaz à effet de serre pour les ménages français devient une préoccupation importante pour les citoyens d’aujourd’hui. Chaque jour on vie, on se chauffe, on part travailler en voiture, en bus, en train ou même en motocyclette. Les jours passent, la routine s’installent, on paye nos factures ; mais savons-nous vraiment les conséquences que nous apportons sur notre planète depuis des années ?

Entre 1980 et 2010, les émissions du gaz à effet de serre de ménages français ont baissé de 0,4 tonne d’équivalent CO² par personne, selon l’Insee. Au fil des années, nous sommes passés par plusieurs façon de se chauffer. Du charbon jusqu’au fioul puis remplacé par le gaz naturel, celui-ci devient de plus en plus la priorité dans les villes. Nous retrouvons aussi des partenaires luttant contre les effets néfastes du GES tout comme ENGIE qui est un acteur mondial de l’énergie et expert dans 3 métiers : l’électricité, le gaz naturel et les services à l’énergie. Le Groupe inscrit la croissance responsable au cœur de ses métiers pour relever les grands enjeux de la transition énergétique vers une économie sobre en carbone : l’accès à une énergie durable, l’atténuation et l’adaptation au changement climatique, la sécurité d’approvisionnement et l’utilisation raisonnée des ressources.

En revanche la cause principale qui pèse le plus lourd dans la consommation du GES sont les émissions liées aux transports individuels. Privilégiés la marche à pied et le vélo est essentiel mais malheureusement pas à la portée de tout le monde. C’est pour cela que des mesures commencent à être mis en place pour lutter contre la progression des GES.  Par exemple, Paris, concerné par ce changement met en place des pastilles de couleur sur les véhicules renseignant le niveau de pollution. Les mesures concernent les bus, cars et poids lourds de plus de 3,5 tonnes les plus anciens, immatriculés avant le 1er octobre 2001. Ils ne pourront plus rouler entre 8 heures et 20 heures dans Paris, les jours de semaine et le week-end. Cette interdiction ne s’applique toutefois pas aux véhicules prioritaires, camion-citerne et frigorifiques et aux véhicules des forces armées.

Dès juillet 2016, l’interdiction de circulation s’appliquera également, durant la semaine, aux véhicules particuliers et utilitaires légers, diesel ou essence, de classe 1 (antérieur à 1997) – qui représentent encore 10 % du parc de voitures circulant à Paris deux-roues motorisés antérieurs au 31 mai 2000. Les véhicules de classe 2, 3 et 4 (soit tous ceux antérieurs à 2010) seront ensuite progressivement interdits entre 2017 et 2020.

Toutes ces mesures mise en place vise à contribuer à la protection de l’environnement et à la promotion de la paix.

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