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Exposé sur le virus du VHC

Étude de cas : Exposé sur le virus du VHC. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Octobre 2019  •  Étude de cas  •  2 474 Mots (10 Pages)  •  519 Vues

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Intro :

L’hépatite C est une maladie provoqué par le virus VHc identifié en 1989,Mais qu’est ce qu’un virus ? Il s’agit d’une particule microscopique infectieusequi ne peut se répliquer que dans les cellules vivantes, il doit donc pénétrer dans les cellules, soitles infecter.

C’est ce que faitle virus VHCen effet ce derniercontenue dans le sang des personnes atteintes,va infecter les cellules dufoie ce qui va par la suite entraîner une inflammation des cellule.Cependant, ce virus a des caractéristique précises comme le fait de pouvoir être dans l’organisme depuis des dizaines d’annéesen ne faisant apparaître aucun symptôme, ce qui peut être probématique car il est souvent à l’origine de graves maladies comme le cancer du foie,la cirrhose…

Malhereusement cette maladie est de plus en plus répandue mais une part de chanceux n’est pas touchée par cette dernière, on est donc pas tous égaux face à cette maladie, il est donc intéréssant de se demander en quoi l’environnement et notre hérédité nous rendents inégaux face aux maladies ?

Pour répondre à cette question, nous avons étudier en détaille  la prévalence de l’hépatite C, les diverse moyens de contaminations du VHC, les différentes actions du virus sur notre organisme et en particulier sur nos cellules du foie, puis les traitements à utiliser contre l’hépatite C.

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Structure du virus de l'hépatite C.

La prévalence

Tout d’abord, quest ce que la prévalence ?Il s’agit du nombre de malades relevés dans une population à un moment précis.

Donc, Le Virus de l’hépatite C,  ou VHC, touche  3 % de la population mondiale, ce qui correspond à environ 210 Million d’individus qui sont atteints du virus de l’hépatite C. De plus chaque année 3 à 4 millions de personnes sont nouvellement infectées, ce qui est quand même très important.

[pic 3]

Mais certain continent sont tout de même plus touchés que d’autres par ce virus,   tel que l’Afrique du Nord, le sous continent Indien ou encore l’Asie du Sud Est. C’est d’ailleurs ce que l’on peut voir sur cette carte montrant la prévalence de l’infection du virus VHC dans le monde en 2004 sur laquelle on voit que  la séroprévalence la plus élevée est l’Egypte,situé en Afrique du Nord-Est.

Contrairement à lEurope où la  prévalence se situe entre 0,3 % et 3 %  ce qui est faible par rapport aux pays du Suds.

Si nous prenons le cas moins générale de la France dont 1,2 % de la population est porteuses de ce virus, on constate que le VHC touche des groupes de population précise et particulière. C’est d’ailleurs ce que l’on peut voir avec le tableau suivant: qui nous donne le nombre de personnes avec des  anti-VHC, qui ont donc subit le passage du VHC ainsi que le nombre de personnes possédant de l’ARN VHC positive, ceux qui  possède  le matériel génétique du VHC dans leur sang.

Tableau : Taille des sous-groupes de population et prévalence des anticorps (Ac) anti-VHC et de l’ARN VHC positifs chez les 18-80 ans, France métropolitaine, 2011

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commentaire sur le tableau :

On constate donc que cette maladie est fréquentes partout dans le monde mais particulièrement dans les pays sous développée du Sud. Malheureusement cette maladie peut être meurtrière, en effet elle cause la mort dans le monde de 500 000 personnes par an.  

En raison de sa fréquence élevée et de sa dangerosité, il est donc nécessaire d’étudier les actions du virus VHC sur notre organisme à différents échelles afin de mieux comprendre cette maladie pour pouvoir par la suite trouver des traitements de qualité.


CONTAMINATIONS DU VIRUS :

Pour commencer, le virus de l’hepatite C, avant de pouvoir infecter les cellules du foie, il va devoir trouver un moyen de contaminer l’organisme.

Cette contamination se fait principalement par voie sanguine, notamment lorsque le sang d’une personne porteuse du VHC entre en contact avec celui d’une personne non infectée. Ce mode de contamination se retrouve particulièrement chez les utilisateurs de drogues mais aussi lors de transfusion sanguine comme lors de dons sanguin.

Cependant d’autre mode de contamination plus rare existe, tel que la contamination par voie sexuelle qui a lieu lors de rapports sexuelsnon protégés avec des personnes infectée par le virus. Mais dans certains cas, ce virus peu être directement transmis de la mère à l’enfant durant une grossesse. Il reste également une part de mystère car dans 10 % des cas, l’origine de la contamination reste inconnue.



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INFECTION DU VIRUS VHC DANS LES CELLULES DU FOIE ET REPLICATION AU NIVEAU MOLECULAIRE ET CELLULAIRE :

Il faut le savoir que le virus VHC est un virus dont le génome est constitué par une molécule d’ARN monocaténaire soit un seul brin, qui code pour environ 3010 à 3030 acides aminés. Son génome possède une grande diversité génétique avec 6 génotypes différents à son actif.

Donc, une fois lacontamination par voie sanguine, sexuel ou par la grossessedu virus faite, le virus de l’hepatite C est dans l’obligation d’aller infecter lescellules du foie, car du fait de leur simplicité extreme, les virus n’ont aucun moyen de se multiplier par eux-même et cherchentdonc des cellules vivantes pour le faire. Cette multiplication consiste majoritairement en l’introduction du génome viral dans les cellules du foie, qui sont appellée les cellules « hôtes », afin de créer de nouveaux virus. Mais pour infecter ces cellules hôtes, le virus de l’hépatute Cpossède des glycoprotéines qui reconnaissent les récepteurs CD81, SR-BI, et CLDN-1situés donc sur la membrane cytoplasmique de la cellule « hôte », les cellules du foie.

Ensuite, a donclieu la pénétration du virus dans la cellule hôte. Cette dernière se fait par fusion de l’enveloppe virale et de la membrane cytoplasmique en une membrane unique provoquant ainsi ce qu’on appelle a décapsidation du virus. La décapsidation correspond à la degradation de la structure viral mise à part l’ARN positif du génome viral qui va pouvoir ainsi être libéré.

Une fois l’ARN positif du virus libéré,ce dernierva être traduitet répliqué. Pour cela, le génome viral libéré se substitue partiellement ou totalement au génome cellulaire qui jusqu’alors organisait les synthèses cellulaires. La cellule est donc désormais au service du génome viral ce qui va alors porvoquer le détournement de la machinerie cellulaire. Soit l’ARN positif est donc traduit par la machinerie cellulaire (ribosome, protéines cellulaires) détouré par le virusau niveau du réticulum endoplasmique afinainside synthétiser des protéines virales. L’ARN négatif est ensuite synthétisé grâce à la protéine virale NS3-5B codée par le virus, ce dernier permet par la suite la production d’un grands nombre d’ARN viral (+).

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