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Ses croissance économique

Étude de cas : Ses croissance économique. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Mars 2019  •  Étude de cas  •  1 763 Mots (8 Pages)  •  552 Vues

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En 2010, ont estiment les réserves de pétroles à 49 ans. Ce phénomènes montre l’importance de la préservation de la planète , en effet depuis quelque année le monde s'interroge sur comment préserver nos ressources naturels, avec la COP 21 qui c’est déroulé à Paris avec la signature de 200 pays qui permet de montrer l’importance des problèmes écologique dans les questions politiques, ainsi que la reconnaissance de la responsabilité des activités humaines sur l'environnement (c’est le capital naturel qui regroupes l’ensembles des ressources naturel est qui est considéré comme un bien commun c’est-à-dire rivaux et non exclusif).La croissance économique est une augmentation de la production de biens et services sur une longue période. Nous nous sommes posées la question suivante: Les ressources naturels sont-elles toujours menacé par l’augmentation de la production ?

Pour répondre à cette question nous verrons dans un premiers temps que la croissance peut avoir un impact que l’environnement qui peut être négatif.

Puis dans un second temps nous verrons que la croissance peut aussi être un remède au problème environnementaux.

Dans cette première parties, nous allons voir que la croissance peut avoir un impact sur l’environnement. En effet, elle peut générer une surexploitation du capital naturel. Puis que cette situation implique l’adoption de mesures contraignantes ...

En effet, la croissance peut avoir un impact sur l’environnement avec une surexploitation du capital naturel, il prend en compte l’ensemble des ressources naturel. Cette surexploitation a 2 sources qui s’explique avec la courbe de kuznets, la première vient de l’effet d’échelle qui est une source de pollution car elle s’appuis sur l'utilisation des énergies fossiles qui rejette une pollution importante. En 2008, les captures totales de thons se chiffrait à 6.3 millions de tonnes. il y a donc une surpêches de cette animal on on estime que les “23 stocks de thons sont, à peu de choses près pleinement exploités” document 3 . Ainsi, une surpêches de l’animal peut mener à sa disparition car avec le temps il y a une demande croissante. Mais ce n’est pas le seul à être en danger, les ressources non-renouvelable comme le pétrole sont elles aussi touchaient par la croissance car elles ont une demande constante et donc les réserves disponible sont de plus en plus réduite (estimé à 49 ans en 2010),de plus, le développement industrielle engendre des pollution qui affecte le réchauffement climatique causé par les gaz à effet de serre.Entre 1990 et 2012, les émissions de CO2 ont augmenté de 51.3 % (document 2).On parle donc de “ tragédie des biens communs” car les agents vont exploiter une unité supplémentaire du bien commun ce qui à terme va faire disparaître la ressource. Mais l’effet d’échelle n’est pas le seul à affecter les ressources il y a aussi une explication du côté de la demande. En effet, les ménages sont davantage préoccupé par les besoins matériel et leur préoccupation environnemental n’existe pas. Ils préfèrent satisfaire les besoins et donc ne vont pas faire attention à ce qui pourrait se passer dans les années suivante (déforestation , réchauffement climatique, disparition d’espèces animal ..). Les pays, ont donc mis en vigueur des mesures qui peuvent parfois être contraignante.

En réalité, cette situation implique l’adoption de mesures contraignantes. Effectivement, dans l’approche de la soutenabilité forte les capitaux sont complémentaire, les partisans considèrent que le capital naturel est spécifique car il est indispensables à la vie sur terre. Le développement serra dis soutenable à condition que le stock de capital naturel demeure constant dans le temps et qu’il fait l’objet d’une préservation plus stricte et qu’il fasse peser plus de contrainte dans l’activité économique. La soutenabilité forte à des instruments qui participe à la politique climatique avec la participation de l’instrument réglementaire , qui repose sur la contrainte car il impose aux agents certain comportement à travers la mise en place de normes ( si elles ne sont pas respecté elles peuvent faire l’objet d’une sanction négative). Cette instrument régule la pollution par les quantités c’est-à-dire qu’il impose une limite aux émission polluante et peut en interdire. La réglementation est le seul instrument qui peut interdire certain produit et donc permettre l’innovation car les agents vont être incité à chercher d’autre procédé et il permet de connaître a priori le niveau des émissions polluantes qui sont fixer par plafond à ne pas dépasser. Mais cette réglementation à des inconvénient : l’Etat à moins une asymétrie d’information et peut donc fixer un prix trop élevé ou pas assez élevé, de plus elle est faiblement économique car elle est uniforme et non adopté aux différente structure de coût. De plus en plus de pays diminue leur émission polluante notamment dans les pays du Nord ou entre 1990 et 2012 l’URSS a baissé de 23.9%, l’Union Européenne a fait baisser ces émissions polluante de 13.8% (document 3). Mais la réglementation n’est pas la seule à fixer des limites il y aussi le principe de précaution qui ne veut pas qu’on attend d’avoir la certitude scientifiques pour adopter des mesures qui vont prévenir les risques de dommages à l’environnement car il permet de conserver le capital naturel en interdisant les substances les plus dangereuses pour l’environnement (OGM, gaz de Schiste…).

Cependant, ces mesures ne sont pas incitative car les agents vont se conformer au niveau prescrit par la norme et ne vont pas chercher à poursuivre

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