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Croissance et environnement

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Par   •  27 Janvier 2019  •  Dissertation  •  598 Mots (3 Pages)  •  1 141 Vues

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Croissance et environnement

QRA (DS prévu le 12 décembre 2017)

Arguments d’accroche comme point de départ :

  • Accidents technologies majeures (Tchernobyl, Fukushima, explosion AZF à Toulouse…)
  • Catastrophes écologiques (marées noires, tempêtes tropicales, ouragans, canicules…)

Le constat relayé par les médias : « La maison brûle et nous regardons ailleurs » (Jacques Chirac) lors du Sommet de la Terre de Johannesburg en Afrique du Sud en 2002.

On pense que sur ce qui prime sur l’environnement, c’est la croissance économique. C’est-à-dire qu’augmenter la production prime sur l’environnement. Pour nous, un pays va bien si sa croissance augmente. On ne tient pas compte des conséquences environnementales. La croissance ne tient pas compte des externalités. C’est pourquoi certain suppose qu’il faut partir vers la décroissance. J-B Say a décrété que les richesses naturelles sont inépuisables car sans cela, nous ne les obtiendrons pas gratuitement.

QRA

Nous savons que la croissance a offert à de nombreux pays la possibilité de se développer et de connaître une amélioration des conditions de vie. Mais cette croissance ne s’est pas faite sans impactes, notamment écologiques. Ces impacts négatifs nous obligent alors à définir un développement plus respectueux de l’environnement, ce qu’on appelle le développement durable.

Mais la croissance économique est-elle compatible avec le développement durable ?

  1. Les impacts de la croissance sur l’environnement

Bien que la croissance à très largement contribué au développement de certains pays, certaines activités industrielles, elle a également contribué à la dégradation de l’environnement. Cette dégradation est en effet dû aux activités industrielles, consommatrices de matières premières, d’énergie (eau, électricité…) et de ce fait, de rejets polluants dans l’air que nous respirons. Les activités humaines ont alors une part importante dans la destruction de la faune et la flore, détruisant ainsi une partie de notre stock de capital naturel, et donc de nos possibilités de croissance future.

  1. Plusieurs courant de pensées s’opposent

Il existe deux courant de pensées majeures, en opposition. D’un côté les productivistes, qui souhaitent toujours produire davantage, et de l’autre les écologistes dont leur souhait et de se développer tout en préservant l’environnement.

Parmi les productivistes, nous avons les physiocrates, les mercantilistes, les classiques comme Adam Smith ou bien Karl Marx.

Cependant, opposés aux productivistes, nous avons les écologistes. La thèse écologique met en cause la croissance. Ce qui apparaît, c’est qu’il faudrait un PIB vert. L’action de l’homme a des conséquences négatives sur l’environnement, selon les écologistes.

  1. Les éléments qui animent la croissance

Comme étudié en économie, la croissance apparaît comme instable, elle n’est pas continue. Parmi les éléments que la croissance affecte, il y a bien évidemment l’environnement, c’est-à-dire « l’ensemble des éléments objectifs (qualité de l’air, bruit, etc…) et subjectifs (beauté du paysage, qualité d’un site, etc…) constituant le cadre de vie de l’individu. L’environnement se retrouve alors au centre de la croissance, devenant un élément indispensable à la prise en considération, notamment par les activités industrielles.

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