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Qu’est-ce que la philosophie ?

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Par   •  12 Février 2020  •  Cours  •  1 364 Mots (6 Pages)  •  574 Vues

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Qu’est-ce que la philosophie ?

Introduction : 

la philosophie vient du mot grecque philos Sofia (amour du savoir) Socrate est le premier philosophe même si avant lui des hommes comme thalèse ou Pythagore ce considéré comme philosophe, il est le premier a s’intéresser a la définition et saisir son importance pour la constitution de la science. C’est Aristote qui vas définir la philosophie avec rigueur il l’appellera métaphysique, il dit que le philosophe a un savoir universelle cela veut dire le philosophe est celui qui réflechie sur les principe de la connaissance et de l’action mais aussi sur les fondement de la croyance.

I-La question de la connaissance

a-Science et philosophie

Une science ce caractérise par un objet et une méthode, l’objet est le domaine de définition d’une science, c’est l’objet qui détermine la méthode de la science. Ainsi nous avons deux type de science les sciences rationnel et les science expérimental les mathématique sont des sciences rationnel ou démonstrative tandis que la physique et la biologie sont des sciences expérimental.

Il existe de type de quantité les quantité continue ou les quantité discret la ligne et la surface sont des quantité continue tandis que le nombre, les sons et les instants (le temps) sont des quantités discret ainsi nous avons la géométrie qui étudie les quantité continue et arithmétique qui étudie les quantités discret. La physique étudie le mouvement et les force tandis que la biologie étudie le vivant. Chacune de ces sciences est une sciences régionale. Les mathématiques par exemple ne sont pas expérimentale car elle étudie des réalités abstraite. Toute science assume sont objet ou suppose qu’il est tel qu’elle le traite par exemple : les mathématique travail sur l’espace mais ne se demande qu’est-ce que l’espace, les mathématique ne justifie pas qu’il est tel qu’elle le traite c’est à la philosophie donc de s’interroger sur les objet de la sciences et sur les méthode de la sciences.

b- La philosophie sciences ou critique

La philosophie réfléchie donc sur les principes de la science et la question se pose donc de savoir qu’elle est son objet. La philosophie est un savoir de second ordre a la différence des sciences régionale . Elle n’étudie pas les quantités en tant que tel mais elle se demande qu’est-ce que la quantité, elle n’étudie pas le mouvement en tant que tel mais elle se demande qu’est-ce que le mouvement.

A partir du 17ème-18ème sciècle la philosphie cesse d’être une science pour être qu’une critique des sciences. Elle s’interroge sur les limites et les possibilité de la sciences

Pourquoi philosopher ?

Questions :

1. Le sentiment qui précède l’activité philosophique selon Aristote est l’étonnement

2. Selon lui apercevoir une difficulté et s’étonner c’est reconnaître sa propre ignorance

3.Aristote veut dire ici que les premiers penseur philosophais dans le but d’échapper a ignorance et non pas dans le but de satisfaire leurs besoin

La Moral :

La moral permet au communauté humaine de vivre ensemble, les morales mettent en place les règles qui permette d’évaluer les action, dans le contexte d’une morale une action est juste quand elle respecte la règle dans le cas contraire elle est injuste.

La morale ne s’interroge pas sur la valeur de la règle. Elle s’occupe de l’appliquer mais non de savoir si elle est bonne ou mauvaise. (ex : Au moyen-age on brûlait les sorcières) La réflexion philosophique par contre s’intéresse a la valeur de la règle et essaye de déterminer les bonne et les mauvaise

Éthique :

L’éthique s’intéresse a la valeur de la règle et de savoir par quel critère est relié les règles. Le critère d’évaluation d’une règle est la raison une règle doit être conforme a la raison. Est-ce que tout règle conforme a la raison est une bonne règle mais la conformité de la raison ne garantit pas qu’elle soit bonne. Le second critère qui permet d’évaluer une règle éthique est son caractère juste ou sa conformité a l’idée de justice. L’idée de justice renvoie nécessairement au bien. Une règle est conforme au bien absolue quand elle est valable indépendamment du temps et de l’espace, c’est a dire qu’elle valable pour tout les hommes et de touts temps. La réflexions philosophique s’interresse a l’idéal et non simplement au fait a la différence du droit toute règles qui porte préjudice a l’idée d’homme ne peut pas être une règle éthique et d’élaborer des règles dite naturelle.

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