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Peut-on parler d'un sens de l'histoire ?

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Par   •  7 Mars 2020  •  Dissertation  •  1 281 Mots (6 Pages)  •  720 Vues

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Peut on parler d’un sens de l’histoire ?

Intro

Accroche

 Massacre ouighouhrs en chine reitere les violences barbares des hommes qui ne sarret pas depuis le plus gros genocide a savoircelui des juives

L’histoire si elle avait alors un sens devrait etre une suite d’evenement qui ne se répetent pas et avance vers le progres mais on a l’impression que nous tournons en rond et nousn e suivant pas une ligne horizontale
Mais l'histoire =  
l'étude de ces mêmes événements du passé .

Cela revient à envisager la possibilité d'une téléologie de l'histoire mais il peut aussi désigner la «  signification »;

PROBLEMATIQUE

 il s'agirait alors de se demander si l'histoire n'est qu'une suite absurde de hasards, ou si elle a une signification qu'il nous serait possible reconstruire, grâce au travail propre de l'historien.

D'autre part, pouvons-nous, par l'étude que nous en faisons de lhistoire lui en donner un ?

1.L’histoire est chaotique

L'histoire de l'humanité se déroule depuis plus d'un million d'années : cent milliards d'hommes, de guerres, de coutumes, un fatras invraisemblable de préjugés et de violences, des cultures entières tombées ... dans un oubli peut-être définitif. Le sens présuppose I'ordre Or l'histoire est un immense désordre. Toutes les théologies et philosophies de l'histoire qui ont prétendu y trouver un sens n'ont fait que cacher l'infini fourmillement des événements derrière l'abstraction d'un schéma unique qu'aucun  fait ne peut valider.

À cela s'ajoute une litanie interminable de violences. Mais pourquoi sont morts les dizaines de millions de paysans chinois, à la suite de l'invasion mongole (13e siècle) ? Pourquoi pour quoi sont morts les millions de Russes victimes du totalitarisme stalinien ?

Des cyniques ont dit : ne fait pas d'omelette sans casser des œufs.

 L'histoire a cassé beaucoup d'œufs, et l'omelette n'a pas été faite.

L'absence de sens est ce qu'on appelle proprement absurdité. Pourquoi A. Camus a-t-il choisi Sisyphe comme héros de l'absurde ?

La tâche laquelle Sisyphe est astreint est absurde :

1. aucune utilité.

 2. parce qu'elle s'accompagne de souffrance.

 3. parce qir'elle est vouée à I'éternelle répétition.

 Transposons ce schéma à I'histoire : les agitations des  hommes peuvent nous paraître dépourvues d'utilité. Elles ne cessent pas de recommencer si tot qu'elles ont fini.

Soit la GUERRE =l'espoir que c'est la dernière,

=  20 ans plus tard

Soit la révolution : on la fait avec I'ilusion que ceux qui pleure aujourdui =lendemain  chanter ; les présents ont pleuré et crié, mais les lendemains ont déchanté. L'histoire n'avdnce pas, elle piétine.

ES-CE DIRE QUE LHISTOIRE EST DEPOURVU DE SENS ?

Si en était ainsi comment expliquer que nous pouvons quand meme imposer des suites logique . ?

2. L'histoire a une fin et un sens : histoire et progrès

a. Selon religion

Dieu providence omnipotent et omniscient

Alexandre Koyré (1892-1964) dit que tous les mythes ont un point commun : explication des origines par des divinités qui viennent mettre de l’ordre et des séparations à la place d’un chaos et d’un tout indifférencié. 

Histoir theocentré = anthropocentré

b. Les progrès perpétuels de l'humanité au cours de l'histoire

Si l'on s'interroge sur le cours de l'histoire humaine, on ne peut que constater qu'elle manifeste un progrès constant = domaine technique /sciences : nos manières de vivre, nos connaissances, sont assurément + avancées et dvlp que celles des 1er hommes.
Ce progrès, selon 
Hegel, montre le développement de l'Esprit / Raison. L'histoire humaine doit alors être conçue comme progrès de la raison qui constituent sa fin et son sens propres : « l'histoire universelle, s'est développée rationnellement » (La Raison dans l'histoire).

b. Objection : les ambiguïtés de la « perfectibilité » de l'homme  

Ces progrès sont dus à ce que Rousseau appelait la « perfectibilité » de l'homme. Or cette notion n'implique pas seulement l'idée positive de progrès. L'homme est capable de changer parfois pour le meilleur, mais parfois aussi pour le pire (Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes)

c. Mais ces régressions ne sont telles qu'en apparence

D'après Hegel : rationalité de l'histoire ne se manifeste pas par un progrès linéaire, mais→ de façon dialectique : c'est en dépassant ou en s'opposant à un mal préalable le plus souvent que→ l'humanité progresse vers + de rationalité et de liberté.
Les périodes de stagnat° ou de régress°= En réalité
moyen pour la Raison de faire advenir par la suite un + grand bien – :

...

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