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Langage et communication

Étude de cas : Langage et communication. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  4 Février 2017  •  Étude de cas  •  1 722 Mots (7 Pages)  •  820 Vues

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Le mécanisme de la communication

Personne A                                Message                         Personne B

                                                                        

Codage                                        Phrase                        Décodage

                                                Mots                                

Personnalité                                 Attitudes                        Personnalité

                                                Intonations

Décodage                                        Gestes                        Codage

                                                Regards

Environnement

Langage et communication

Faire une différence entre langue et langage. Il y a le langage soutenu, courant et familier. Ce sont des registres de langue.

La langue est un système d’expression et de communication qui est commun à un groupe social qu’on appelle communauté linguistique. Exemple d’une langue qui n’est pas géographiquement circonscrite : langue des signes.

Le langage est une fonction d’expression de la pensée proprement humain.

Il y’a la parole qui est un élément d’engagement.

Le code est une notion de convention. Ensemble de conventions qui permet de produire les messages et de les comprendre. Le code n’est pas nécessairement linguistique (code de la route).

Notion de signes et significations : un signe est un ensemble d’éléments de connaissance qui comprend : les indices, les signaux, les symboles, les icones et les signes linguistiques. Ce qui caractérise le signe c’est sa capacité à évoquer une réalité quand elle n’est pas présente (on peut parler d’une chaise même si la chaise n’est pas là).

Les indices : dans chaque situation il y’a des éléments qui renseignent sur quelque chose (si on sent la cigarette c’est qu’on a fumé). C’est un fait qui est immédiatement perceptible et qui nous fait connaître quelque chose à partir d’un fait qui n’est pas perceptible.

Le signal : élément destiné à déclencher une réaction, repose sur une convention (ex : panneau routier, ou verbal « Arrêtez »).  

Les symboles : évoque quelque chose d’abstrait (la colombe et le rameau d’olivier qui symbolisent la paix). Elément qui dans une culture donnée évoque quelque chose d’abstrait ou d’absent.

Une icône : un signe qui imite visuellement ce à quoi il se réfère. Il y’a les icônes religieuses. Représentent objets ou personnes.

Notion de signe plus en lien avec l’interaction :

Le signe à deux composants : la dimension signifiante = le signifiant (ex : le mot chaise, la représentation psychique), et la réalité matérielle du signe = le signifié (ex : l’objet lui même), partie conceptuelle du signe.

Roman JAKOBSON (1896-1982)

Les fonctions du langage.

Linguiste, qui étudie scientifiquement les langues et les signes.

La fonction conative : le message est émis pour que le destinataire comprenne ou agisse. Fonction qu’on utilise dans le domaine professionnel : consigne, injonction, ordre. Tournée vers le destinataire.

La fonction expression ou émotive : tournée vers l’émetteur.

La fonction poétique : dimension esthétique de la langue. Le langage se prend lui-même pour objet. Fonction qui met l’accent sur le message lui-même, le message est envisagé comme esthétique.

La fonction référentielle : fonction du langage qui met l’accent sur le contexte. L’action doit se référer à un contexte.

La fonction phatique : fonction du langage qui vise à s’assurer qu’il y’a un contact, un lien (Allo, ça va etc.). Elle permet l’établissement du contact, la vérification du passage du message (« tu m’entends ? »).

La fonction métalinguistique : quand on parle du message lui-même. Ce qui concerne l’explication du langage lui-même.

Exemples :

« Prenez une feuille » : conative et référentielle

La communication non violente

M. ROSENBERG a créé la communication non violente, « Les mots sont des fenêtres ou bien ce sont des murs ».  Repris par Thomas D’Ansembourg.

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