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L'art doit-il éduquer la sensibilité ?

Dissertation : L'art doit-il éduquer la sensibilité ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  2 Novembre 2022  •  Dissertation  •  1 506 Mots (7 Pages)  •  586 Vues

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Emma Duval              l’art doit il éduquer la sensibilité

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Dans cet extrait de Jane Austen, le personnage de Marianne reproche a son beau frère de ne pas apprécier l’art et de ne pas le comprendre en effet elle déclare qu’il « n’y connais rien ». L’art est une conception ou chaque individue exprime ses pensée ou sa sensibilité de différente façon, que se sois par la poésie, la peinture, l’écriture… A première vue il faut une sensibilité pour produire une œuvre d’art quelle sois sur la toile ou sur une feuille, cette sensibilité n’est apparemment pas présente chez tout le monde car sinon tout le monde serai artiste. Mais il faut, dit-on, une certaine sensibilité pour apprécier et comprendre l’art. La sensibilité se présente sous deux formes : la sensorialité, et la sentimentalité. Ici il est question de sentimentalité, cette sensibilité qui met en action les sentiments et les ressenties et qui procure cette sois disant sensibilité qui nous rend capable d’apprécier l’art. L’art doit, aux premiers abords, « éduquer » l’art mais ce terme parais assez contradictoire étant donner que l’art est un loisir pour ceux qui en sont spectateur mais « l’éducation » passe par la contrainte obligatoirement, mais elle permet d’acquérir des savoirs tels que ceux de la connaissance, des savoirs faire et les savoirs vivres donc il semblerais que pour pouvoir de faire de l’art un loisir il faudrait obligatoirement passer par la contrainte. Cela laisse donc paraître   que la sensibilité ne serai, semble t-il, quelque chose qui ne serai pas forcement innée, en tout cas pour ce qui est d’apprécier l’art car aucun Homme ne manque de sensibilité car l’Homme est capable de sentiments ne serai-ce que par ses différentes expériences sociales, et donc capable d’avoir une sensibilité même si cette dernière ne sera jamais au même niveaux que n’importe quel individue dans le monde. Mais l’art doit il éduquer notre sensibilité ? Ne peut-il pas, dans un sens, enrichir notre sensibilité ? Mais se demander si l’art doit être éduquer par la sensibilité constitue quelque chose de logique : il faut être doté d’une certaine sensibilité pour apprécier l’art, sinon comment l’art peut il éduquer ma sensibilité si je ne suis pas au préalablement sensible a l’art ? Dans un premier temps nous observerons que la sensibilité est quelque chose d’innée , que vouloir l’éduquer reviendrais a la contraindre d’une certaine façon et que vouloir donner une fonction à l’art est-il quelque chose de légitime ? Puis nous verrons que même sans forcement le vouloir l’art peut enrichir et « élever » notre sensibilité, qu’il aurai une vertu moralisatrice et que l’art peut nous ouvrir les yeux.

Tout d’abord, la sensibilité est quelque chose d’innée, même si la mémoire peut nous faire défaut et nous faire « oublier » cette sensibilité, Descartes en serra victime : étant petit il était amoureux d’une petite fille avec un strabisme, il a grandie et avais oublier son existence. Dans sa vie il s’étonnait d’être sensible au charme des femmes possédant un strabisme, se n’est qu’en rêvant de cette petite fille que le souvenir de cette petite et de son strabisme qu’il a trouver la cause de cette attirance et donc de cette sensibilité  ce charme. Cette sensibilité n’aurais donc pas besoin d’être éduquée au sens propre car elle serai acquise peut-être un peut malgré nous en prenant l’exemple de Descartes qui n’était qu’un petit garçon au moment des faits, elle s’éduque a priori « d’elle même », suite a nos différentes expériences ou notre vécu ce serai donc ça qui expliquerai notre  différence de goûts et nos différentes façon de penser ou de ressentir les choses, comme le dis l’expression populaire « a chacun ses goûts » ou encore «les goûts sont une affaire personnelle » qui exprime parfaitement le fais que l’on a pas tous les mêmes goûts et donc pas les mêmes vécu ce qui explique les différentes sensibilité face a certaines chose (par exemple face a un tableau). Et en reprenant notre exemple du tableau, se dernier peut faire échos a des événements déjà vécu ou similaire, à notre propre histoire. Mais tous ça nous revenons au fait que les goûts sont quelque choses de subjectif, de ce faits : qui peut se targuer a prétendre qu’il a de meilleurs goûts que tel ou tel personne et peut prétendre a en éduquer ma propre sensibilité ou celle d’autrui ? Après tout la définition du « beau » n’en est pas réellement une étant donner que la définition ne sera jamais la même suivants les avis de différents individus, le beau ne relève pas d’une seule raisons mais en effets de beaucoup plus , ces raisons sont propres a chacun selon leurs vécu et c’est pour cela qu’il est presque impossible de donner la vrai définition du « beau » a supposer qu’il y en ai une. Ce qui fait que vouloir éduquer la sensibilité en viendrais a la contrainte, à la « dresser » ce qui ne parais absolument pas légitime étant donner que, nous l’avons observé, la sensibilité dépend du vécu de chacun, se serai inculquer une sensibilité qui ne serai pas notre se qui ne serai donc en aucun cas légitimes. Nous pouvons bien mettre la sensibilité « au pas » pour des apprentissage tel que des mathématiques, de la grammaires, ou tout autres apprentissages dont le résultat n’est pas subjectif et ne changera jamais. Mais est-il nécessaire de « formater » la sensibilité ? D’ailleurs, est-il obligatoire de donner une fonction définie à l’art ? Le verbe « devoir » évoque à un impératif et donc a une obligation mais es-ce que l’art ce doit indéniablement de jouer un rôle « pédagogique » ? Kandinsky aime à dire que dans l’art il n’y a jamais de « il faut »

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