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Analyse de l'animal

Cours : Analyse de l'animal. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Novembre 2020  •  Cours  •  1 259 Mots (6 Pages)  •  520 Vues

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  1. Conférence monsieur Obadia :

  • Des droits pour les animaux ?

En France, la loi Grammont, depuis 1850, elle protège les animaux domestiques des actes de cruauté qui pourrait être commis.

Cette question du droit des animaux, a été relancer par Peter Singer, en 1975 il publie la libération animale, il y a 4 thèse principale :

Il faut distinguez 4 ou 5 réponses :

  • La position cartésienne
  • La critique du cartésianisme (d’abord la critique évoquer par Condillac de la position de Descartes, puis la critique de Descartes opéré par les républicains, au 19ème siècles)
  • Bentham étude de son ouvrage
  • Henri Salt un anglais, qui propose en 1992 un ouvrage sur les droits
  • Peter singer 1975, la libération animale, à travers l’analyse de 4 thèse forte
  • Conclusion : deux questions qui constituent une critique de la libération, pour mesurer les limites de la théorie des droits animaux.

  1. Descartes, la position cartésienne :

Il y est rationaliste : il considère que la raison est la première source de connaissance et que c’est le meilleur moyen pour arriver à la réalité. Il est dualiste aussi, il reconnait la matière l’esprit, selon lui l’homme possède un corps et un esprit.

Tout animal, selon Descartes, n’est pas assimilable à l’Hommes, ils peuvent être considérer comme des machines. Cela ne veut pas dire que l’animal est une machine. C’est une théorie selon laquelle, si on veut développer la médecine, il faut envisager l’animal sous un modèle, la machine. Si l’on veut comprendre la vie de l’animal, il faut le comparer à une machine, or si on peut comparer l’animal a une machine cela signifie que l’animal n’est pas une machine.

Conséquence pour Descartes : l’animal ignore la souffrance, il crie certes, mais ces cris non pas plus de sens par des bruits d’une horloges.

Donc, Descartes ignore la souffrance animale.

Cette position, qui voit Descartes ne pas reconnaitre la souffrance animale, du au machinisme

  1. La critique du cartésianisme

Condillac : Philosophe français, qui a écrit la théorie du sensualisme il faut le différencier sensualisme d’empirisme (en premier l’expérience ou perception est la première source de la connaissance : l’expérience n’est donc pas la seule source de la connaissance il y aussi la raison.)

Sensualisme : positions selon laquelle l’expérience est la seule source de connaissance, il suffit donc de ressentir des choses d’éprouver des sensations : soit les animaux possèdent des sens donc ils sont capables d’éprouver des sensations, ils ressentent des choses donc ils peuvent penser et souffrir.

Donc pour Condillac l’animal a-t-il des droits ? est ce que dans le traiter des animaux il faut lui donner des droits ?

Non, mais vu que l’animal souffres, l’Humain a des devoir envers l’animal (autrement dit soulager sa souffrances)

Si l’animal peut penser et souffrir on peut se demander ou est la limite entre l’hommes et l’animal ?

Anti-cartésianisme

 Pendant le confinement, découverte d’un historien français Morris Agulhon,

Pour les républicains du 19ÈME c’est le spiritualisme, pour les anti-cartésianisme, c’est le spiritualisme cartésiens et chrétiens qui en séparant de façon excessive le corps et l’Ames. Son responsable du mépris dans lequel on met les bêtes, pour eux les cris, il n’y a pas pour eux de différences qualitatives.

Clemenceau « nos frère d’en bas »

Or, aujourd’hui la loi grammons, a été instauré dans cette périodes conflictuelles, lors du combat contre le spiritualisme religieux et cartésiens.

Voir le sang des bêtes, articles sur la protection des bêtes.

Que signifie l’amour envers la souffrance animal des hommes ? on parle de zoophilie.

« Or, en France au 19ème siècles, d’abords c’était seulement les animaux domestiques, qui sont menacé par la violence de leurs mettre, si on les protège, c’est parce qu’en refrénant cette violence mineure envers l’animal, on espérait qu’on aiderait a refréner la violence majeure des humains entre eux. Donc la zoophilie est une éducation, qu’on doit apprendre aux hommes pour s’aimer les uns les autres. La protection des animaux voulait être une pédagogie, il s’agissait d’apprendre aux hommes à refréner leurs violences, et la zoophilie (amour des animaux) l’école de la philanthropie.

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