La bataille de la Somme

        Le 22 aout 1916, la France perd 27 000 soldats en une journée. La date la plus sanglante français se doit d’une opposition des Français et britanniques contre les Allemands. On appel, aujourd’hui, ce combat : « la bataille de la Somme ». Comment est-ce que la bataille de la Somme témoigne-t-elle de la violence de l’expérience combattante de la première guerre mondiale ? Nous verrons dans la première partie que la bataille de la Somme est un cas exemplaire de la stratégie guerrière lors de la première guerre mondiale. Quant à la seconde partie nous analyserons l’expérience combattante durant la première guerre mondiale, à travers le quotidien des soldats, qui n’était que pure violence.

        La bataille de la Somme fait partie de la première guerre mondiale, elle est plus particulièrement L’EXEMPLE même de cette guerre des tranchées. La guerre des tranchées est une forme de guerre où les combattants s'abritent dans des lignes fortifiées, dans lesquelles les soldats sont relativement protégés par des armes légères et de l'artillerie. En 1916, l’Empire allemand, applique un plan d’invasion qui vise à envahir la France par la Belgique, pour prendre Paris. Malgré la résistance des armées belge, française et britannique, l’Allemagne parvient à conquérir la Belgique et la Lorraine en seulement trois semaines. Le front se rapproche ainsi de la Picardie et oblige Français et Britanniques, alliés, à se replier dans l’est de la Somme. C’est alors que l’Entente veut récupérer le territoire qui as été conquis par l’empire centrale. C’est donc le 1er Juillet 1916 que cette bataille appelé la bataille de la Somme commence, elle durera un peu moins de 5 mois étant donné qu’elle cessera le 20 novembre 1916. Cette bataille sanglante concerne plus particulièrement l’armée britanniques, les soldats français étant au front de Verdun, essayant de récupérer, eux aussi un territoire perdu. Contre l’entente (Français et britanniques) se trouvait l’empire centrale (Allemagne, Autriche-Hongrie). Cette bataille avait pour armes principales deux tranchées traversant la Somme (en Picardie) du nord au sud. Les français avaient une tranché, face au Allemand, car les tranchées été face-à-face. Ce conflit à alors créer une zone vide, entres les deux tranchées, appelé « No man’s land », c’est ici que les plus violents combat avaient eu lieu, ce qui a détruit les paysages alentours. C’est deux partie : le « no man’s land » et les tranchées fessaient parti du front, c’est donc le lieu où combattaient les soldat). De part et d’autres du front se trouvaient également des zones appelées « arrière-front ». Dans ces lieux s’organiser la logistique de la guerre : on n’y trouvait les denrées alimentaires, les hôpitaux, les animaux ainsi que le matériel nécessaire à la guerre.

        Principale offensive de la première guerre mondiale, la bataille de la Somme est menée principalement par l’armée britannique sur le front ouest en 1916. Elle se voit le premier engagement massif des Volontaires. L’attaque doit se produire sur un large front, entre Serre (Pas-de-Calais) et Maricourt, au sud, sur la rive droite de la Somme. Pour ne pas être surpris l’empire centrale commence une attaque de diversions, le premier jour, sur les lignes allemandes à Gommecourt, à 4 km au nord de Serre. Lancée conjointement avec une attaque française au sud de la Somme, cette offensive doit permettre, dans un premier temps d’établir une nouvelle position, puis, en second temps : réaliser une percée majeure dans les armées françaises et britanniques. L’attaque d’infanterie est précédée d’une semaine de préparation d’artillerie et logistique. À 7h30, le 1er juillet 1916, les fantassins britanniques sortent des tranchées et, disposés en ligne, entreprennent de traverser du « no man's land » à un rythme lent et régulier. Ils sont rapidement comme avez prévu les dirigeants : exposés au déchaînement des mitrailleuses et des fusils des Allemands qui ont survécu au bombardement. Les allemands, guidée avec précision, entreprend de frapper les tranchées de regroupement où sont placés les soldats qui attendent de monter à l’assaut. Les pertes humaines sont énormes. Durant la première journée d’offensive, les Britanniques s’emparent des tranchées adverses en plusieurs points. Mais ils sont exposés à l’artillerie allemande. Alors que les renforts des ennemis affluent, des contre-attaques contraignent les fantassins britanniques à se retirer de certains secteurs conquis au cours des jours précédents, journée dans laquelle plusieurs millier d’homme avait laisser leurs vies.
Au soir du 1er juillet 1916, il apparaît clairement que l’attaque est un désastre complet pour l’armée britannique : 20 000 hommes (dont près de 1 000 officiers) ont été tués, Mais ce « Big Push » aura causé au totale près de 60 000 hommes au totales. C’est l’une des journées les plus tragiques de toute l’histoire de la nation. Si Autant d’homme ont étaient tué, c’est car la bataille de la Somme, on un défaut que les dirigeant français ont pensaient pouvoirs surmontée. Une butée énorme séparer Français, Britanniques et Allemands. Les fantassins britanniques et français se trouvaient au bas de la butée, se suivaient la monté non-occupée et le haut de la butée étaient occuper par les ennemis (Allemands). Dès les premiers instants, ou les britanniques et les français sont sorti, il avait beau tiré leurs armes n’avait pas une portée assez longue pour atteindre les allemands étant donné qu’ils tiraient vers le ciel (en haut de la butée). Quant aux Allemands, dès que les fantassins français et britanniques sortaient, du haut de la butté, le balles arrivaient avec aisance en bas, et donc avaient beaucoup plus de facilité à les tuer. De part ce détaille, 60 000 hommes meurt en seulement quelques heures.

La guerre d’usure est un conflit déterminé par l’accumulation de pertes démographique et matérielle. Dans une guerre dite « d’usure », la victoire va au camp qui parvient à supporter le plus de dommages infligés par son l’adversaire. Les belligérants doivent tenir e plus possible sur une plus longue période que ce même adversaire ne puisse endurer lorsqu’il encaisse des pertes en retour. Créer pour et pendant la première guerre mondiale, elle à pour second but, après avoir fatiguer l’ennemi, de bloquer la guerre de position (guerre de tranchées). La victoire cherche l’anéantissement de l'adversaire.  La guerre d’usure est donc un lieu où chacun des adversaires s'efforce de fatiguer, d'amoindrir peu à peu les forces de l'adversaire.

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