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Immigration du XIXe jusqu'à la fin du XXe siècle

Synthèse : Immigration du XIXe jusqu'à la fin du XXe siècle. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  8 Avril 2020  •  Synthèse  •  460 Mots (2 Pages)  •  337 Vues

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Legoupil Ilona

Histoire :

        

Présentez les caractéristiques et la situation des immigrés en France à la fin du XIXe s. et au début du XXe s. [pic 1]

        Au XIXe siècle, la France devient un pays de forte immigration jusqu’au début du XXe siècle où cette immigration stagnera.

        Premièrement, la France est connu pour être l’un des premiers pays d’immigration en Europe à la fin du XIXéme et au début du XXe siècle. En effet, la France se distingue des autres pays car elle finit rapidement sa transition démographique et à une très faible natalité. De plus, c’est un pays en pleine industrialisation et qui a donc besoin de main d’oeuvre surtout dans l’agriculture et les mines. C’est aussi un pays qui attire les banni de toutes l’Europe car la France est considéré comme un pays libre ( qui n’est plus en révolutions ). Certaine personne viennent pour fuir la répression ou les persécution ( comme les juifs par exemples ) et d’autres sont des exilé de la grande émigration. Les migrants viennent majoritairement de Belgique vers la fin du XIXe siècle et d’Italie au début du XXe siècle. Mais il y’a également des Allemands, des juifs, des Polonais, des Anglais, des Suisses et des espagnols. Certain sont des migrants temporaires et d’autre non. [pic 2]

        Dans un second temps, les étrangers on fait face à des violentes réactions xénophobe. Les immigrés seraient trop nombreux, porteurs de maladie, délinquants potentiels, étrangers au corps de la Nation et surtout ils serait une main d’oeuvre concurrente et déloyale. Cette xénophobie, récurrente en temps de crise, est souvent accompagner de violence et de racisme. Les Belges sont les plus touchés au début du XXe siècle. Au milieu du XIXe siècle, l’entrée et le séjour des étrangers restent libres. Mais le rôle de l’Etat va progressivement se développer. Afin de calmer les tensions, l’état met en place des mesures destiné à réglementer et surveiller les étrangers. En effet, un décret de 1888 leur impose de se faire enregistré en mairie pour pouvoir travailler.  En 1889, la législation française développe le droit du sol et le droit du sang qui permet ainsi une meilleur intégration des étrangers.C’est à partir de 1893 qu’il doivent être immatriculer afin de pouvoir obtenir la feuille de 46 sous. C’est enfin de 1904 jusqu’en 1906 que l’Etat créer la premières conventions internationales, signées avec l’Italie et la Belgique, pour organiser l’arrivée d’immigrés. [pic 3]

        Le cap du million d’immigrés en France est franchi en 1881 et ne cessera d’augmenter jusqu’en 1914.[pic 4]

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