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Résumé de 11 Nouvelles en littérature

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Par   •  31 Décembre 2021  •  Résumé  •  2 263 Mots (10 Pages)  •  238 Vues

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Résumer des 11 nouvelles :

Première nouvelle : La Musique de la pluie de (Silvina OCAMPO)

Octavio Griber joue du piano avec ses pieds.

Avant de jouer du piano il regarda ses pieds puis les pédales, puis ses pieds, puis ses pétales avant de faire des gammes avec son gros orteil.

Il jouait des œuvre de Debussy, de Ravel, de Fauré, de Chopin, etc…

Le public l’admire.

Il ne joue pas du piano si il n’a pas de papier sous les marteau pour modifier le sons des touches.

Pour lui le piano est considéré comme un humain.

Le maître de maison est un grand pianiste qui lui ne joue pas avec ses pieds.

Il était jaloux de Octavio Griber.

On remarqué qu’il étais jaloux à spa barbe, elle devenait rêche malgré qu’il utilise de la brillantine.

Deuxième nouvelle : La Dernière Leçon de musique de Tch’eng Lien de (Pascal QUIGNARD)

Tch’eng Lien détruit les instruments de Po Ya (un luth, guitare, etc…). Pour que Po Ya joue de la musique avec plus de sentiments dans ça façon de jouer de la musique.

En brisant ses instruments Po Ya a changé de voix.

Dans la musique le son n’est pas le fruit.

Chaque objet fait un son différent (ils écoutèrent le bruit du balai qui ôtait la poussière).

Po Ya arrive chez Fong Ying (le réparateur d’instrument), il essaye longuement les guitares est les luths. Il pris le deuxième luth essayer et pris la quatrièmes guitare essayer.

Quatre mois plus tard Po Ya montre a sont maîtres une petite pièce de musique avec ses nouveaux instruments.  

Tch’eng Lien ne peut plus rien apprendre a Po Ya il l'envoyas donc chez sont propre maître qui s’appelle Gang Tseu-tch’ouen qui habite dans la mer de l’Est, il pourra faire naître l’émotion dans l'oreille humaine de Po Ya.

Tch’eng Lien a fait exprès de laisser Po Ya tout seul sur une île pour qu’il puisse améliorer sa musique avec ses sentiment.

À la fin Po Ya devint le plus grand musicien du monde.

Troisième nouvelle : Où il n’est pas question d’amour de (Nina BERBEROVA)

Les étudiants de Saint-Pétersbourg et de Moscou mais aussi les chaires qui était occupé par des professeurs en visite. Au théâtre municipal, où ont donné rêves d’amour qui est une célèbre composition pour piano de Franz Liszt (1811–1008 cents 86) datant de 1850.

Et au théâtre des Variétés où on jouer Sylvia (l’un des grands ballet du répertoire créé à Paris en 1876).

Un nouveau club ouvrir ses portes. C’était un public triés sur le volet qui était admis pour les soirées dansantes (Il devait être masqué). Un petit journal fille également son apparition : les amateurs de la vie élégante. Un studio sucré.

Maria Petrovna alla voir Rêve d’amour et entendre Limansky.

À l’entracte son émotion fait aussi grande qu’elle ne plus articuler un seul mot. Elle se rendait toujours seul au concert, car elle aimé se concentrer.

Elle jouer du violoncelle quelque chose comme huit heures par jour pour en faire son métier. Et c’est une enfant qui s’appelle Marie et qui vit en Russie.

Maria Petrovna héberge Timoféev (il était l’un des deux disciples de Bossman qui était le chef d’orchestre de Limansky). Ils fut la connaissance à la soirée des futuriste.

Il pris l’habitude de l’appeler aussitôt après le dîner vers les huit heures il se m’étais à parler, ils essayer alors dans le fauteuil elle au piano et parfois elle l’écouter jouer du piano.

Il ne lui venait pas à l’idée de tomber amoureux, de vouloir la prendre dans ses bras; De telles idées ne lui venait jamais à l’esprit et pourtant il est mauvais pas passé une seule soirée sans qu’elle fut présente.

Il se disait qu’elle était parfaitement charmante, car il s’était avéré qu’elle avait cru en lui.

Le jour où il est parti Maria n’avait plus aucun goût même la musique ne la préoccupe pas comme si tout ce qu’elle possédé, il avait emporté.

Elle s’était détaché de certaines choses, et ce qui se déverser du piano à queue noire lui était devenu étranger. Elle ne se posait même plus la question de savoir si dans sa vie elle avait été spolié, ou si c’était elle-même qui avait tout distribué, ou encore si, dès le début, il n’y avait rien eu du tout.

Quatrième nouvelle : Le Nouvel Ami de ma mère de (Régine DETAMBEL)

On ne sait pas où se passe cette histoire, ni à quelle époque. Les personnages principaux sont une fille et sa mère. La mère de la petite fille a une nouvelle fois rencontré un homme, un mélomane et souhaiterait se marier avec lui.

Extrait choisi: « Le nouvel ami de ma mère était un grand mélomane et grand amateur d'opéra. »

Le nouvel ami de ma mère était un mélomane et grand amateur d’opéra.

Le mélomane s’appeler Pierre, Il avait l’air gentil.

Il ne me couvrait pas de cadeau, ne tentait pas de m’apprivoiser en baissant la voix.

Pierre et sa mère écouter Mistinguett qui était une chanteuse de cabaret est actrice française très populaire de (1875–1956), Ils disent que Mistinguett n’est pas une cantatrice

Cinquième nouvelle : 9e et 13e de (Jonathan COE)

Il a du mal à croire qu’il suis resté déjà plus de 18 mois à l’angle de la 9e et la 13e qui sont des rues parallèles de New York.

C’est le volet roulant du Perky Pig Diner and BBQ, sur le trottoir d’en face qui le réveil. Peu après commence le barouf du rez-de-chaussée ; on transbahute des meubles, des camions entre et sortent sous mes fenêtres, et la vibration des moteurs en surrégime est tellement insistante que même quand il mets son casque et qu’il pousse le volume à fond, il sent le sol trembler.

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