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Nulle part dans la maison de mon père

Commentaire de texte : Nulle part dans la maison de mon père. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Avril 2019  •  Commentaire de texte  •  933 Mots (4 Pages)  •  1 075 Vues

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Le document étudié lors de cette lecture est un récit autobiographique extrait de « Nulle part dans la maison de mon père » paru en 2007. Il fut écrit par Assia Djabar. Ce récit retrace ces années d’études à Alger qui était une écrivain poète franco-algérienne auteur de nombreux romans retraçant sa jeunesse à Alger quelques femmes d’Alger dans leurs appartements de 1980. Dans ce récit Assia djabar revient sur ces années d’études à Alger alors département français. Elle évoque ses impressions ses ressentis conflictuelles entre la culture locale algérienne et la culture apportée par les occidentaux français . Nous Zalo vous voir au travers de ce texte pour relever les différences de culture occidentale et européenne à celle algérienne locale. Nous Zalo vous voir au travers de ce texte pour relever les différences de culture occidentale et européenne à celle algérienne locale Pour ce faire nous allons procéder en premier temps à sa liberté et ressenti quant à ses déplacements dans Alger et dans une seconde partie nous verrons les oppositions de culture .

En premier lieu nous allons voir la vision de la ville d’Alger par les yeux de la jeune est étudiante . Elle exprime une forme de liberté de mouvement et de déplacement par le champ lexical du déplacement tel que « marcher , déambuler , passant ». Et au travers de ses nombreux verbes d’action elle dévoile une facette incessantes de mouvement et d’activité une ville ne s’arrêtant jamais . Elle décrit également une vision de grandeur et lumière avec cette cité béante et scintillante exprimant au travers de ses objectifs la vaste T et l’ouverture qu’elle peut apporter au regard . Le fait également de la luminosité scintillante montre les reflets du soleil sur toute la ville .

Assia Djabar nous fait part du plaisir et de cette plénitude qu’elle manifeste dans son récit une intéressante légèreté à vous sentir flotter dans leur vous saouler d’oxygène . Nous voyons sa sensation de légèreté occasionnée et de saouler se référant au vocabulaire de l’ivresse et du désinhibées manques passant par un plaisir lui procurant la perte de poids quotidien et l’oubli des soucis faisant face a cette perpétuelle plaisir de légèreté de flotter .

L’auteur par la même occasion nous formule un simili d’autobiographie car elle fait intervenir un souvenir personnel je me souviens dans ma première année ici installant un récit rétrospectif narrée à la première personne du cinq du lié et l’emploi fréquent de cette dernière . Une chose importante insérer dans ce récit est la place de la parole des femmes à peine invité vous hasardées la moindre phrase interrogative ce qui dans sa jeunesse est une révolution laissant la parole de la femme telle un être demandons et recevant des comptes sur des faits pratiques capable d’assimiler et d’agir sur l’événement .

Dans ce second temps nous nous pencherons sur les oppositions du culture au sein de cette grande ville faisant gravité nombre de Français occidentaux et d’habitants au local c’est dernier ne se mélangeant pas et restant à votre notre clan lis votre clans ou poser clos instaurons les vis rivalité de la fermeture des deux groupes à l’échange il ne évolution des mœurs apportées par la venue des occidentaux. Dans ce second temps nous nous pencherons sur les

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