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Le féminisme est-il encore utile aujourd’hui ?

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Par   •  14 Octobre 2019  •  Fiche  •  1 728 Mots (7 Pages)  •  1 063 Vues

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Le féminisme est-il encore utile aujourd’hui ?

Le Trésor de la Langue Française définit le mot « féminisme » : « Mouvement social qui a pour objet l'émancipation de la femme, l'extension de ses droits en vue d'égaliser son statut avec celui de l'homme, en particulier dans le domaine juridique, politique, économique ; doctrine, idéologie correspondante ». Cette description va définir une femme qui lutte pour un monde dans lequel elle est protagoniste ainsi que l’homme. Les premiers mouvements féministes commençaient dans les premières années du 20ème siècle en Angleterre avec les suffragettes et ensuite ils se sont expandus par tout le monde. Les femmes se battaient pour un idéale de libéré, pour leurs droits.

Aujourd’hui, nous devons remercies ces femmes, qui ont féminisé le monde. Mais dans certains pays et dans certains aspects de la société il semble que la lutte fait que commencer. Des conditions du travail inhumaine, le salaire qui n’est pas le même pour hommes et femmes, les violences domestiques. Donc nous nous demandons si le féminisme est encore utile aujourd’hui.

Pour répondre à ce questionnement nous montrerons, dans une première partie, comme le féminisme est encore important aujourd’hui pour la sauvegarde de droits des femmes et pour la leur émancipation dans la société et dans le monde du travail, donc tout ce qui rend le féminisme indispensable aujourd’hui. Puis, dans une deuxième partie nous verrons que grâce au féminisme les femmes sont réussies à devenir une partie indispensable pour les nôtres sociétés.

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On trouve des inégalités homme/femme dans le domaine professionnel, où une femme doit se battre pour recevoir le même salaire que les hommes où pour recevoir les droits de maternité. En effet, aussi dans les pays civilisés d’occident la femme, au travail assume un rôle qui est moins importante et par conséquence moins rétribué par rapport à l’homme. Selon l’Oit (Organisation International du Travail de l’ONU) la convention Oit C100 sur la parité rétributive a été adopté en 1951 et elle soutien la parité rétributive entre femmes et hommes pour le même travail ou pour un travail équivalent. Mais la discrimination de genre dans le salaire, dû au fait que la femme travaille part-time ou qu’elle arrête son travail pour s’occuper des enfants, est l’une de causes principales de l’actuel écart rétributif. L’écart rétributif entre hommes et femmes n’influence seulement la vie d’une femme qui travaille, mais aussi la vie de tout sa famille, surtout si est une femme seule ou une fille-mère. Cet écart est entre les causes des conditions de vie pauvres et de la malnutrition, donc il ne favorise pas la disparaitre de la pauvreté. Une possible solution au problème est l’inscription aux syndicats et la stipulation des contrats collectif entre les employeurs et les employés. Cette différence de salaire nous montre que le combat n’est pas terminé et qu’il existe toujours des domaines où le féminisme demeure aujourd’hui nécessaire.

Deuxièmement on retrouve des inégalités entre homme et femme aussi dans la société, laquelle est totalement soumise aux préjugés sur les femmes. Selon le « Global Gender Rap Report » du World Economic Forum, on a besoin de 170 ans pour combler l’écart entre hommes et femmes dans la société. La femme est vue comme un objet parfait qui, par exemple dans les publicités sert à faire vendre le produit. Le principales stéréotypes on peut le trouver pour le 50% dans l’industrie de la publicité, dans laquelle le 40% des femmes ne se reconnaissent pas. Autant de préjugés on le trouve aussi dans le monde télévisé et du spectacle, où la femme est considérée seulement pour sa corp et pas pour sa mentalité. Dans la société reste toujours la vision de la femme comme secrétaire. La femme doit être toujours parfaite, épilée, maquillée et avec des vêtements propres. L’homme au contraire peut sortir en pyjama et personne ne lui jugera. Les femmes sont contraintes à suivre des règles qui ne sont pas écrites pour plaire aux autres et être acceptées. Les femmes sont encore portées à s’adapter à une « normalité » qui est seulement une construction culturale. La femme n’est pas seulement mère, secrétaire ou femme image, elle est tout ce qu’elle veut devenir. La solution a tout cela est d’aller au-delà des préjuges, car une femme a tout le pouvoir pour dépasser l’homme et pour se prendre une revanche. Cette revanche est aussi grâce au féminisme.

En dernier lieu un des problèmes plus importants qui a toujours touché l’univers des femmes est le féminicide. C’est un des points clé du mouvement du féminisme et l’une de ses premières batailles. Les discriminations de genre, les stéréotypes sur les femmes, qui sont radiques dans les nôtres sociétés vont forcer la femme à rester dans un cercle de violence. Les féminicides sont des gestes extrêmes de violence dus d’une réalité des inégalités, menaces et violence surtout sur les droits de femmes. Les primes références sur les féminicides on peut les retrouver dans une Résolution du Parlement Européen en 2007, dans le cadre des les assassinats des femmes dans l’Amérique du Sud. Le féminicide est la forme extrême de la violence contre les femmes, produit de la violation des

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