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Chronique d'opinion des joueurs de la LNH

Compte rendu : Chronique d'opinion des joueurs de la LNH. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Janvier 2020  •  Compte rendu  •  673 Mots (3 Pages)  •  597 Vues

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Titre : La rondelle à n’importe quel prix

Parlons de chiffres, puisqu’ils parlent plus que n’importe quoi. 10 millions est les revenus accumulés depuis le début de carrière de plus de 200 joueurs, outre ceux-là, nous avons la classe des 50 millions, pour 23 joueurs. Entre les années 2002-2003, un total de 19 équipes ont fait preuve de déficit, incluant le Canadien de Montréal, totalisant la modique somme de 342,4 millions de dollars. Les 11 autres équipes, ont réalisé un gain d’ensemble de 69,8 millions. L’importance du déficit est nettement plus notable que les gains, d’ailleurs, le montant le plus élevé de déficit s’élevait à 40,9 millions, tandis que le gain le plus élevé était de 14,6 millions.

Le but ultime du hockey, et de tous sports de compétitions confondus, est de gagner, cela va de soi, non ? Dans le cas de la LNH, il s’agit de gagner la coupe Stanley, rendant ce moment mémorable, et donnant une raison d’être aux honnêtes partisans. Or, Gilles Lupien, ancien défenseur, ayant participé à la délivrance de quatres coupes Stanley, n’a jamais eu un salaire qui a dépassé les 65 000 dollars. Aujourd’hui, l’ex-joueur gagne 10 fois plus à titre monétaire. Ce dernier, affirme qu’il n’en a rien à faire de la coupe Stanley, il s’agit plutôt d’une carrière de 15 ans et la sécurité financière jusqu’à 70 ans. La raison d’être du hockey n’est clairement plus la même fantaisie qu’avant, il en est question d’argent, et de faire ce qui est demandé sur une période de temps. Point final ! Mais qu’est-ce qui advient des partisants, et de la coupe ? On les tasse, et y repassera plus tard !

Les conventions négociées si arduemment par les propriétaires ne sont d’ailleurs même pas respectées. Pourquoi se sont-ils creusé la tête avec une mise en marche, qui ne prend pas effet ? Par exemple, selon l’âge, l’expérience et le contrat d’un jeune joueur, le Canadien pouvait offrir que 1,5 millions à José Théodore, mais lui ont offert 5 millions, ce qui est un énorme écart entre les deux montants. Le club n’était pas forcé de lui accorder, mais ont tranché, probablement, que ce joueur a des talents de négociation hors-pairs pour arriver à une somme voire un peu plus que triplée, que celle convenue au départ.

D’ailleurs, les clubs ont une masse salariale de 60 millions, alors que 30 millions serait amplement convenable, selon d’autres clubs avec de budget. La gestion de ces salaires plus adéquate, préviendrait beaucoup d’innatendus.

Le salaire moyen d’un joueur entre 1993 et 1994 se situait à 560 000 dollars, voilà une dizaine d’année plus tard, il se situe à 1,79 millons. Cette hausse certainement énorme de 261% se situe loin par rapport à la hausse de 173% des revenus des équipes.

Selon une étude commandée par la LNH, pour les 30 clubs distincs, un total de 272 millions de dollars en terme de déficit se calculait. Ces centaines de millions de dollars sont passés où ? Qui gère ces finances-là ?

Parmis toutes les types de ligues de sports professionnels, la LNH est celle ayant la plus grande masse salariale de tous ; 75% par rapport aux revenus. Sans faire de calculs trop complexes, on peut en venir à l’évidence, que l’équilibre est absente.

Les clubs doivent évidemment augmenter leurs revenus, et la méthode pour y

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