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Analyse plusieurs poême Alcool bac français

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Par   •  27 Juin 2019  •  Commentaire d'oeuvre  •  5 758 Mots (24 Pages)  •  688 Vues

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Alcools

d’Apollinaire

Alcools :

-recueil de poème

-écrit en 1913

-Thème : amour perdu, fuite du temps, la modernité

Apollinaire

-auteur du 20e siècle

-Pas de mouvement littéraire mais précurseur de l’esprit nouveau grâce à des idées avant-gardistes

Il n’y a parfois pas de problématique de lecture car je n’en ai pas trouvé (et qu’il y en avait pas sur les feuilles de Salomé) ou pas de contexte car le texte n’en a tout simplement pas.

Extrait 1

Zone

I)Une esthétique nouvelle

→Forme du texte surprenante

     → Irrégularité des strophes

     → Irrégularité des vers (vers libres)

     → Rimes suivant pas les règles traditionnelle (il s’en ballec)

        →rimes pauvre ou même écho sonores

→Situation d’énonciation floue

     →On ne sait pas qui il parle « c’est vous Pape Pie X » mais c’est         un récit majoritairement autobiographique

 →Indices temporels brouillés car les verbes sont         majoritairement au présent mais avec du passé composé et         imparfait

→Le niveau de langue est relâché pour un texte poétique

     →Niveau de langue familier « tu en as assez »

     →Utilisation de verbes simples et direct « J’ai vu », « J’aime »

     →Image banales pour de la poésie « automobiles », « hangars »,         « journaux », « rue industrielle »

II)Un poème entre continuité et rupture

→ Volonté de rupture prônant le renouvellement de l’art et du                    i iimonde

    →Volonté de rompre avec l’ancien temps « A la fin, tu es las de         ce monde ancien », « Tu en as assez de ce monde ancien »

        → Référence au 19e siècle qui vient de finir et à l’esprit                     nouveau

        → Cela est marqué par l’omniprésence du présent

→ Apo ne rompt pas totalement avec la tradition lyrique

    →La figure du poète n’est là pas désigné par « je » mais par le         « tu » mais c’est la même chose et il est vraiment pas bien

        → Il exprime une volonté de s’exprimer « se confesser » et une            « honte » provoquer par le regard des autres « toi que les             fenêtres observent »        

        Veine autobiographique dans l’évocation de l’enfance

→ Le rôle important de la religion

    →Rapprochement du poète et du christianisme à l’aide de « tu »:          « tu n’es pas antique ô Christianisme »

   →Paradoxe entre la lassitude du monde ancien et la vigueur         dans le christianisme qui n’est pas « pas antique » et         comparée « aux hangars de Port-Aviation », éléments nouveau         par excellence

            →La religion n’est pas inscrite dans le temps, et même si il est            athée, il reste marqué par l’éducation chrétienne qu’il a eu,            c’est pour ça qu’il veut entrer dans l’église

III)Une éloge du quotidien

→ Un poème urbain

   → Déambulation du poète et donc du lecteur dans Paris « Tour         Eiffel » qui est d’ailleurs un symbole de modernité fort

    → Apo est intéressé par « une rue industrielle » car elle est                   neuve

            → Attrait pour la modernité de la rue et de ses habitants « les             directeurs les ouvriers et les belles sténodactylographes »

            → Apo s’intéresse au quotidien car il mérite aussi d’être un                       sujet poétique

→ Un art de la banalité

   → Les nouvelles formes de littérature sont les manifestations de         la modernité « les livraisons pleines d’aventures/Portraits des         grands hommes et mille titres divers »

        → La ville est elle-même un support de littérature « les                     prospectus les catalogues les affiches

   → Les formes banales deviennent des sujets de poésie

        → La Tour Eiffel, symbole de modernité, est associé à une                    « bergère » gardant la ville « troupeau de ponts » croisant             la campagne et la ville, la modernité et la tradition

        → La ville est doté d’une âme par des personnification                              d’éléments urbains « les fenêtres observent », les affiches             chantent tout haut », « la sirène y gémit » 

→ Un collage de thème se rapprochant du mouvement cubiste

   → Juxtaposition d’image amplifié par l’absence de ponctuation

        → Perte du lecteur dans le poème qui doit trouver son                                 rythme

        → Lecture libre du poème comme un tableau cubiste

   → Association d’image insolite apportant une nouvelle vision

...

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