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Analyse Westwego

Commentaire de texte : Analyse Westwego. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  28 Avril 2019  •  Commentaire de texte  •  480 Mots (2 Pages)  •  3 722 Vues

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Philippe Soupault, Westwego

Approche globale :

Ce texte est un poème. Il a été rédigé entre 1917 et 1922. Il est écrit par Philippe Soulpault qui parle d’un voyage à travers les villes occidentales, mais le poète de peut oublier Paris. Philippe Soupault, né à Chaville le 2 août 1897 et mort à Paris le 12 mars 1990, est un poète français, cofondateur du surréalisme et journaliste. Il est inhumé au cimetière de Montmartre

Analyse linéaire :

CITATION

PROCÉDÉ

INTERPRÉTATION

« Étrange voyageur voyageur sans bagages je n’ai jamais quitté Paris »

Il y a l’emploi du pronom « je »

Le narrateur habite à Paris et quitte sa ville pour la 1ère fois. Il est surpris de voir des personnes voyager sans bagages.

« ma mémoire ne me quittait pas d’une semelle, ma mémoire me suivait comme un petit chien »

Le narrateur n’arrive visiblement pas à se changer les idées.

« j’étais plus bête que les brebis qui brillent dans le ciel à minuit »

Il y a une comparaison avec les brebis

On ne sait pas pourquoi le narrateur se sent bête

« il fait très chaud »

Est ce la température ou bien ce n’est que le narrateur qui a chaud ?

« je me dis tout bas et très sérieusement j’ai très soif j’ai vraiment très soif »

Le narrateur manque d’eau. Il est malade, il est déshydrater.

« je n’ai que mon chapeau »

Le narrateur n’a rien prit avec lui à part un chapeau.

« clef des champs clefs des songes pères des souvenirs »

Clefs des champs est une expression remontant au Moyen Âge et désignant alors les champs comme de grands espaces de liberté, la fuite du contrôle social

Il relâche prise.

« est-ce que j’ai jamais quitté Paris mais ce soir je suis dans cette ville »

« tes monuments sont les bornes kilométriques de ma fatigue »

Tellement que Paris a de monument, il compare sa fatigue au nombre de monument

« je reconnais tes nuages qui s’accrochent aux cheminées pour me dire adieu ou bonjour »

« la nuit tu es phosphorescent »

Le narrateur fais référence à toutes les lumières qui illuminent Paris la nuit

« je t’aime comme un éléphant »

Comparaison de son amour pour paris avec celle d’un éléphant

Le narrateur aime profondément sa ville

« tous tes cris sont pour moi des cris de tendresse »

Personnification des bruits de la ville avec des cris de tendresse  

...

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