OPEP : IRAK, Iran, Arabie saoudite, Koweït, Venezuela...

OPEP : IRAK, Iran, Arabie saoudite, Koweït, Venezuela…

Se sont organisés pour contrôler sur les ventes du pétrole pour définir les prix du pétrole.

A partir des années 60 : les états mettent la main sur les prix du pétrole et vont s’en servir comme arme.

Cette tendance va s’inverser dans les années 70 pour des raisons techniques : il faut creuser plus profond, et donc cela coute beaucoup plus chère.

-Récession (baisse du PIB pendant au moins 2 trimestres)

-Inflation forte, hausse des prix, lies à la hausse des couts de transports… et va durer plus longtemps que la récession.

-Hausse du chômage.

Retour à la croissance, mais l’inflation reste élevée et pas de baisse du chômage.

Deuxième choque pétrolier : les prix multipliés par 2,5 causé par la chute du chah d’Iran, donc révolution iranienne 1978-79 et début 1980, guerre IRAK-Iran.

Donc retour de la récession pour les pays industrialisés, retour de l’inflation et hausse du chômage.
résultat : un nouveau mot utilisé : stagflation : stagnation de la production et inflation.

Ici la montée du chômage s’accompagne d’une très forte inflation et donc la courbe de Philips ne marche pas.

Au niveau monétaire, soit on lutte contre l’inflation et on essaie d’éviter l’hyper inflation, soit on lutte contre le chômage.

Le choix qui va être fait par les banques centrales américaines et européennes va être de lutter contre l’inflation.

Cela va se traduire par une hausse des taux directeurs des banques centrales (sommes empruntées par les banques centrales aux banques). Donc il y a une hausse des taux d’intérêts sur les crédits accordes, donc moins d’activité économique, et moins de production économique mais baisse de l’inflation.

L’inflation va être vaincu début des années 80.

La France est l’exception, avec la politique de relance, d’inspiration keynésienne avec hausse des dépenses publiques.

Récession puis stagnation de la production dans 80’s.

En 1986, contre choque du prix de pétrole.

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