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Pourquoi peut-on parler de réseau européen de production pour Airbus et Ariane / Aéronautique et aéerospatial

Chronologie : Pourquoi peut-on parler de réseau européen de production pour Airbus et Ariane / Aéronautique et aéerospatial. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Mars 2022  •  Chronologie  •  772 Mots (4 Pages)  •  1 144 Vues

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Question 1 : Pourquoi peut-on parler de réseau européen de production pour Airbus et Ariane ?

Comme nous pouvons le voir sur le document 1 qui est une carte qui a pour titre « Les espaces de production de l’Airbus A320 et de l’Ariane 5 » qu’elle représente les espaces de production d’Airbus et Ariane, sur laquelle on voit premièrement, les pays participants à la production aéronautique ou aérospatiale qui sont : la Norvège, la Suède, le Royaume-Uni, l,Allemagne, la France, l’Italie, l’Espagne, la Belgique, la Suisse, et les Pays-Bas. Secondement les emplacements des espaces de production de l’Airbus A320 qui sont à : Broughton, Filton, Nordenham, à Stade, Hambourg, Brême, Meaulte, Evry, Saint-Nazaire, Nantes, Toulouse, Getafe, Illescas, Puerto Real. Et du lanceur Ariane 5 qui sont à : Kongsberg, Charleroi, Ausbourg, Ottobrunn, Zürich, Nyon, Sassenage, Toulouse, le Haillon, Collefero, et Madrid. Puis nous voyons dernièrement les emplacements des sièges sociaux qui sont à Toulouse et en Ile de France.

Nous voyons donc qu’une grande concentration d’espaces de production forme une production en masse en Europe, dans laquelle il y a 14 espaces de production de Airbus A320 et 19 espaces de production du lanceur Ariane 5, de plus les deux sièges sociaux sont en France. Donc nous pouvons dire que l’on peut parler d’un réseau Européen de production pour Airbus et Ariane parce que comme nous le décrit le document, l’Europe détient une production en masse de l’Airbus A320 et du lanceur Ariane 5.

Question 2 : Quels sont les avantages et les limites de la coopération Européenne dans les projets aéronautiques et aérospatiaux ?

Les documents 2 et 4 sont des articles qui ont pour titre « L’Europe spatial développe Ariane 6 » et « Le projet d’avion de combat franco-allemand » dans lesquels sont développés les avantages et les limites. Dassault Aviation a été confirmé comme le chef de file industriel du programme et il travaillera avec Airbus pour l’étude de l’architecture du Scaf et sur un démonstrateur d’appareil. Nous voyons également que Safran dirigera celle sur le démonstrateur du moteur en partenariat avec le motorise Allemand MTU. Puis nous voyons de plus que Thales, qui fournit l’électronique et les systèmes de combat de Rafale, n’a pas été mentionné en premier rang dans l’attribution des contrats d’études et fait figure de grand perdant durant ce premier round industriel.

 Donc nous pouvons voir que Dassault Aviation, constructeur Français a été confirmé comme le chef de file industriel du programme en Allemagne et il travaillera avec Airbus pour l’étude de l’architecture du démonstrateur d’appareil. Ainsi que Safran qui dirigera l’architecture du démonstrateur du moteur en partenariat avec le motorise allemand MTU, ce qui apporte une grande coopération un avantage pour les deux pays. Puis le fait que Thales, fournisseur de l’électronique et les systèmes de combat de Rafale, n’a pas été mentionné en premier rang dans l’attribution des contrats d’étude, est une limite de la coopération.

Question 3 : Quels sont les indices d’une coopération européenne sur la photographie ?

Comme nous l’indique la question, le document présenté est une photographie sur laquelle on peut voir une fusée, des drapeaux de nombreux pays ainsi que le drapeau de l’union Européenne. Nous pouvons voir éventuellement que cette photographie à été prise au centre spatial de Guyane, mis en service en 1968, qui est également un centre de recherche spatial, ainsi qu’une base de lancement française et européenne, pour les lanceurs Ariane par exemple. Le document nous montre aussi que la base est gérée conjointement par le Centre national d'études spatiales (CNES - son propriétaire), Arianespace et l'Agence spatiale européenne (ESA). Il nous démontre de plus qu’avec sa latitude très proche de l'équateur, le centre spatial est idéal pour placer en orbite les satellites de télécommunications qui constituent la majorité de la clientèle commerciale d'Arianespace.

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