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L’historien et les mémoires de la seconde guerre mondiale.

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Par   •  15 Septembre 2019  •  Dissertation  •  2 994 Mots (12 Pages)  •  568 Vues

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L’historien et les mémoires de la seconde guerre mondiale.

Panthéonisation : cérémonie d’entrée de personnalité au panthéon

- Simone veil

- Pierre Brossolette

- Geneviève de Gaule Anthonioz

- Germaine tillion

- Jean zay

Tous entrée en 2015 suites à leurs actions pendant la seconde guerre mondiale.

Les raisons de la panthéonisation

- honorer la mémoire des personnalités

- Se remémorer leurs actions effectuées

- Garder en mémoire les actions du passé ( qui font notre présent de maintenant)

- Donner une certaine image de la France car ces personnes incarnent des valeurs fondamentales pour la France ex : la liberté l’égalité la laïcité

- Permet de faire passer un message au présent en se servant du passé ex : c’est 5 personnalité entrée en 2015 illustre la résistance et donc leur entrée au panthéon illustre l’idée qu’aujourd’hui il faut faire face au terrorisme et résister

Historien : écrit sur le passé à l’aide de méthodes d’analyse lié essentiellement à l’analyse critique de source Ex : archives témoignages écrit / oraux, les traces ( documents officiel) son but est de démêler le vrai du faux.

Mémoires : Relation écrite que quelqu'un fait des événements qui se sont passés durant sa vie, et dans lesquels il a joué un rôle ou dont il a été le témoin

Mémoires au pluriel inclus les mémoires individuelles publiques ( dépendent de comment les personnes on vécu l’événement)

Transmission par des groupes, famille, État

Les mémoires sont multiples mais l’état à pour objectif de faire une mémoire publique.

1 ) une mémoire désunie au lendemain de la seconde guerre mondiale

Au lendemain de la 2nd Guerre mondiale les commémorations officielles sont très faibles comparé à la première guerre du fait d’évènements très dévalorisant ( difficile à encaisser pour la France) que la France à du mal à assumer et ne veux pas forcément en garder le souvenir : perte de la guerre occupation par l’ennemi ( juin 1940 à fin 1944 ) et collaboration avec l’ennemi.

La très grande majorité des français n’ont pas vécu cette guerre nécessaire en tant qu’acteurs ils ont subi l’occupation et on aussi beaucoup attendu

Les commémorations sont alors remplacées par des épisodes d’épuration sauvage, officielle et politique

Épuration sauvage : Après la libération en 1944 la population française ce s’en prendre à tous ceux qui on collaboré avec l’ennemi. C’est environ 9000 personnes qui vont connaître un déferlement de haine de violence principalement pour les collaborateurs hommes et quant aux femmes elles seront tondues en public ainsi on leur ôtait leurs cheveux donc leur beauté.

Épuration officiel : Vague de procès par l’état et les tribunaux ex Le maréchal Philipe Pétain, Pierre Laval un est grand homme qui a était à la tête de la politique de collaboration avec les nazis( STO ) *

STO : la réquisition et le transfert vers l’Allemagne de centaines de milliers de travailleurs français contre leur gré, afin de participer à l’effort de guerre allemand

*Ce travail judiciaire va être limité car ceux qui on collaboré étaient majoritairement des hommes de pouvoir et haut dirigeants nécessaires au fonctionnement du gouvernement français. Les série de procès vont donc très vite se terminer. Il a eu 160 000 procès pour 50 000 condamnation dont 7000 à morts et 767 exécutions.

Épurations économiques :

Les victimes de la seconde guerre mondiale ont une mémoire désunie du fait qu’il y a eu différentes types de civils et donc n’ont pas vécu la guerre de la même manière certain on été asservi et forcé contre leur volonté à collaborer avec l’ennemi : les déportées du STO d’autres on été opprimés : les déportées politiques ou raciales ( reconnaissable à leurs tenues rayé). D’autres se sont fait prisonniers : prisonniers de guerre

Afin de les aider à se reconstruire les victimes demande un dédommagement financier pour les aider à se reconstruire.

Les victimes des genocides Juifs et Tziganes ne connaissent peut de mémoires car ils on quasiment tous été tué et ceux qui reste sont traumatisés.

Pour l’état la désunion ne favorise pas l’évolution de la société.

B. Reconstruire une cohésion nationale : le mythe du résistancialisme

L’ambition de l’état est d’initier une politique mémorielle qui doit conduire à une mémoire collective. La politique mémorielle va mettre en avant la mémoire des résistants.

Selon Pierre Laborie, « La référence de Rousso au résistancialisme renvoie aux reconstructions mémorielles qui auraient installé une vision rassurante des années noires : minoration de l'emprise de Vichy sur la société et vision complaisante de la résistance assimilée à la nation alors qu'elle n'était qu'un phénomène minoritaire ».

De Gaulle à la tête du parti de la résistance extérieure à Londres —> Gaulliste

Le partie communiste à la tête de la résistance intérieure.

Le partie communiste se présente comme le partie qui en le plus fait dans la résistance le partie qui se sont le plus sacrifiés pour la France.

Partie des 75 000 fusillés ( Maurice Thorez)

30 000 français fusillés: estimation des historiens et se chiffre ne compte pas que des communismes.

De plus en plus d’affiches de campagne électorale font être diffusés ainsi faisant l’éloge

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