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La codification est-elle neutre ?

Fiche : La codification est-elle neutre ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  20 Novembre 2022  •  Fiche  •  979 Mots (4 Pages)  •  218 Vues

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Ce premier mouvement débute avec 2 interjections «  Oh » et « Hélas » ce qui permet de prononcer le choc de Victor Hugo face à cette annonce. Cela va être caractérisé par plusieurs points dont :

- l’utilisation du pronom personnel « je » qui donne une tonalité lyrique notamment dans le deuxième vers « je pleurais 3 jours amèrement» et le premier vers « je fus comme fou » ou Victor Hugo emploie le passé simple avec le verbe faire pour exprimer un moment soudain et brutal qui va être appuyé par une comparaison explicite avec la folie. Ainsi dans le second vers un circonstancielle de temps est employé « trois jours » ce qui permet d’insister sur la durée du chagrin et nous renvoie au champs lexical de la tristesse voir l’expression de la douleur. Dans les 3 vers suivants, Victor Hugo s’adresse au lecteur, il recherche une quête de consolation, de soutien, d’empathie a travers la tonalité  pathétique en passant par plusieurs procédés :

- Premièrement, il fait une apostrophe aux parents qui ont vécu le même drame suite à l’emploi de «  Vous tous » au vers 3 et et une énumération « Pères, mères » au vers 4

- Deuxiement au vers 3, « votre chère espérance »c’est une  périphrase désignant l’enfant et enfin Victor Hugo passe par l’interrogation en s’appuyant sur 2 polyptotes pour insister avec le verbe éprouver au dernier vers du premier mouvement «  Tout ce que j’éprouvais, l’avez vous éprouvé ? » pour ne pas se sentir seul dans cette souffrance

Ainsi le deuxième mouvement intervient décrivant la colère avec au Vers 6 une image violente et hyperbolique «  Je voulais me briser le front sur le pavé » cela fait donc référence à des pensées suicidaires de la part de l’auteur. Dans les 3 vers suivants, l’utilisation de l’adverbe puis permet de passer à une étape suivante caractérisé par l’énumération de verbe à l’imparfait «  révoltais » au vers 7, «  fixais » 78 u vers , « croyais » « m’écriais » au Vers 9  qui exprime de la rage, la fureur, la révolte du poète marqué par l’interjection «  Non ! ». De plus Victor Hugo utilise des périphrases pour désigner la mort sans la nommer «  Cette chose horrible » au Vers 8 et «  Ces malheurs sans nom » vers 10 exprimant une douleur indicible ainsi qu’une perte de mots. Pour finir avec ce deuxième mouvement Victor Hugo utilise une question rhétorique au discours Direct «  Est ce que Dieu permet de ces malheurs sans noms qui font que dans le cœur le désespoir se lève ? » qui

exprime une réflexion métaphysique c’est à dire le doute de l’existence de Dieu marqué par de l’incompréhension et de la déception.

Le 3 mouvement traitant dy deni du vers 11 à 16 est caractérisé par plusieurs procédés dont :

- Un refuge dans l’illusion, dans l’imaginaire avec la proposition principale «  il me semblait  suivie du’un oxymore «  affreux reve » dans le premiuer vers. Cette proposition principale est  complété par 5 subordonées complétives marqué par l’anaphore «  que » dont «   que tout n’étais qu’un affreux reve, V12 ; «  qu’elle ne pouvait pas V13 ; «  que je l’entendais rire V14 »; «  que c’était impossible V15 » ; «  que j’allais la voir entrer V16 » . Victor Hugo utilisie des phrasees négatives qui exprime son refus de la réalité avec un début d’hallucinations auditives et visuelles «  je l’entendais rire en la chambre à coté V14 » et «  j’allais la voir entrer par cette porte ! » ou cette phrase est marqué par une exclamation finale du mouvement qui temoigne de son espoir.

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