Histoire du Japon

JAPON

1) Au Japon l'évolution de la population est en décroissement ce qui veut dire que le nombre de décès est plus important que le nombre de naissances. De plus le Japon a une moyenne de population de -16%, l’accroissement naturel est donc négatif. Chaque année le Japon perd des habitants par exemple à Hokkaido de 2010 à 2040 cette région perdra 25% de sa population

2) Le vieillissement de la population du Japon engendre un frein pour son développement économique car les personnes âgées ne travaillant pas ne produisent rien pour faire avancer l'économie du pays. Mais le gouvernement nippons doit s'adapter pour  proposer des activités culturelles et répondre au besoins sanitaires et psychologiques des personnes âgées

3) La première solution apportés au défi du vieillissement est l'arrivée de jeunes ménages avec enfants à Tokyo  donc qui fait descendre le taux de mortalité. La deuxième solution est un robot qui se nomme « Pepper » et qui donne des cours de gymnastique aux personnes âgées pour garder la forme et qui reconnaît les émotions humaines. La dernière solution est l'immigration qui permettra de renouveler la population dans le but de la rajeunir.

4) La population japonaise a commencé a décroître à partir de 2005. En effet en 1979 les japonais étaient en 7e position des puissances démographiques mais les chiffres de 2016 nous indique qu'ils sont retombés à la 11e place devancé entre autres par le Nigeria, le Mexique,le Bangladesh ou encore le Pakistan. Mais cette décroissance n'est pas égale sur tout le territoire japonais : les mégapoles restent très fécondes mais les campagnes reculé perdent et perdront beaucoup d'habitants. Cette démographie décroissante a des impacts sur la société nipponne. Les retraites étant basses de plus en plus de personnes âgées doivent travailler jusqu'à plus de 70ans, le gouvernement japonais doit répondre à la demande de plus en plus conséquente des besoins sanitaires culturelles et psychologiques des personnes âgées. Pour finir, les politiciens ont de moins en moins d'arguments pour garder leur siège permanent à l'ONU sous la pression des monstres démographiques comme l'Inde ou le Brésil

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