Projet RVI – Texte

Projet RVI – Texte

1. Notre idée

Parmi les différents styles de jeu qu’il était possible de faire comme les jeux de tir ou de course, nous avons choisi de faire un jeu d’horreur en VR, catégorie reine des jeux VR. Créer un jeu d’horreur est un vrai défi, il faut avant tout que le joueur soit plongé dans le jeu et qu’il puisse se projeter pour pouvoir ressentir les sensations véhiculées par le gameplay. Pour faire un bon jeu d’horreur, il faudra donc travailler trois aspects ;

1. Récit

Le récit est un élément important pour un jeu d’horreur. Une histoire incohérente sans cohésion n’aide pas le joueur à accrocher au jeu et à profiter de son expérience. Pour qu’il soit entrainer et ressente de la peur, il faut retenir son attention. La narration aura donc une place importante dans notre jeu. Un scénario simple et cohérent permettra donc de suivre le cours du jeu facilement.

1. Interactivité

Cela peut sembler évident, mais les interactions permettent au joueur de s’investir pleinement dans la trame scénaristique en ayant un impact direct sur son environnement. Par exemple, si dans l’environnement dans lequel le joueur évolue se trouve une porte fermée qu’il doit ouvrir, le fait qu’il puisse interagir avec cette porte implique le joueur dans le jeu, on est alors certain qu’il soit attentif à ce qui se passe, ce qui va notamment nous permettre de le piéger.

1. Immersion

Evidemment, l’immersion est sûrement le point le plus important pour avoir un jeu d’horreur aboutie. Réussir à immerger le joueur dans le jeu est la garantie que les frayeurs seront encore plus efficaces. Il faut alors créer une atmosphère pesante.

1. L’apport de la VR

La réalité virtuelle a donné un réel coup de boost à l’industrie des jeux vidéo. Parmi ses avantages, nous retrouvons notamment :

1. Expérience immersive

La réalité virtuelle a permis de repoussé les limites des jeux vidéo. En détachant le joueur de son environnement physique, on téléporte le joueur directement dans le jeu. Aucun élément environnant pourra l’en sortir si ce n’est le joueur lui-même.

1. Gameplay amélioré

En portant un casque et une manette, le joueur voit son gameplay nettement amélioré. Le joueur pourra alors manipuler des objets de manière beaucoup plus réaliste que d’habitude. En pouvant tenir et manier des objets comme des armes, la VR accroit le champ des possibilités.

1. Meilleur contenu

La VR a redynamise l’esprit créatif des développeurs de jeux vidéo. Elle a entre autres permis de créer du renouveau dans les jeux de tir, de simulation et d’aventure.

1. Pour les jeux d’horreur

Pour les jeux d’horreur, les points précédemment mentionnés sont évidemment mis à l’honneur. Avoir une expérience immersive permet pour les jeux d’horreur de plonger le joueur dans un environnement le mettant mal à l’aise. On peut alors créer une sensation d’insécurité et faire en sorte qu’il soit sensible à n’importe quelle stimulation que l’on est susceptible de lui faire subir.

1. La réalisation

Pour réaliser un bon jeu d’horreur en VR, il faut alors reprendre tous les éléments précédemment présentés.

1. Créer une immersion terrifiante

Le fait de porter un casque devant les yeux et sur les oreilles permet d’isoler l’utilisateur. Le fait qu’il n’y plus aucune barrière entre le joueur et l’horreur, le cerveau est rapidement immergé dans le monde virtuel.

1. Tromper le cerveau

La capacité à tromper le cerveau est un ingrédient majeur pour réussir un bon jeu d’horreur. En jouant sur les effets sonores par exemple, on peut faire croire au cerveau que quelque chose ou quelqu’un se rapproche, que l’environnement change etc… Envoyer constamment des informations contradictoires au cerveau permet de mettre le joueur en détresse.

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