Le régime riogolo
Résumé : Le régime riogolo. Recherche parmi 303 000+ dissertationsPar aagolapjtat • 11 Novembre 2025 • Résumé • 469 Mots (2 Pages) • 18 Vues
Sous le ciel d’un bleu pâle, la petite ville de Morval s’éveillait lentement. Les volets claquaient, les coqs lançaient leurs appels, et les premiers rayons du soleil faisaient scintiller la rosée sur les toits d’ardoise. Dans la rue principale, le vieux Horace, boulanger depuis quarante ans, déposait ses pains chauds sur l’étal. L’odeur du levain se mêlait à celle du café que l’on servait au bistrot d’en face.
Non loin de là, une fillette observait le monde depuis le trottoir, un carnet à la main. Elle s’appelait Lila et notait tout ce qu’elle voyait : le chat tigré qui traversait la route en trottinant, la fumée blanche qui s’échappait de la cheminée de la mairie, le rire des enfants courant vers l’école. Chaque détail, pour elle, était une histoire en devenir.
Ce matin-là pourtant, quelque chose était différent. Une lumière étrange brillait au-dessus du clocher, comme un éclat suspendu entre les nuages. Les habitants s’arrêtèrent, intrigués. Certains parlèrent d’un ballon, d’autres d’un signe du ciel. Lila, elle, sentit son cœur battre plus fort. Elle écrivit dans son carnet : “Aujourd’hui, le ciel m’a parlé.”
Quand le vent se leva et que la lumière disparut, la ville reprit son souffle. Rien n’avait vraiment changé, sauf peut-être dans le regard de la fillette, où brillait désormais une étincelle nouvelle — celle de ceux qui ont aperçu un mystère et choisi d’y croire. E
Sous le ciel d’un bleu pâle, la petite ville de Morval s’éveillait lentement. Les volets claquaient, les coqs lançaient leurs appels, et les premiers rayons du soleil faisaient scintiller la rosée sur les toits d’ardoise. Dans la rue principale, le vieux Horace, boulanger depuis quarante ans, déposait ses pains chauds sur l’étal. L’odeur du levain se mêlait à celle du café que l’on servait au bistrot d’en face.
Non loin de là, une fillette observait le monde depuis le trottoir, un carnet à la main. Elle s’appelait Lila et notait tout ce qu’elle voyait : le chat tigré qui traversait la route en trottinant, la fumée blanche qui s’échappait de la cheminée de la mairie, le rire des enfants courant vers l’école. Chaque détail, pour elle, était une histoire en devenir.
Ce matin-là pourtant, quelque chose était différent. Une lumière étrange brillait au-dessus du clocher, comme un éclat suspendu entre les nuages. Les habitants s’arrêtèrent, intrigués. Certains parlèrent d’un ballon, d’autres d’un signe du ciel. Lila, elle, sentit son cœur battre plus fort. Elle écrivit dans son carnet : “Aujourd’hui, le ciel m’a parlé.”
Quand le vent se leva et que la lumière disparut, la ville reprit son souffle. Rien n’avait vraiment changé, sauf peut-être dans le regard de la fillette, où brillait désormais une étincelle nouvelle — celle de ceux qui ont aperçu un mystère et choisi d’y croire. Et oui, la vie est dur pa lat oui, la vie est dur pa la
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