Les facteurs déterminants des choix de production
Étude de cas : Les facteurs déterminants des choix de production. Recherche parmi 302 000+ dissertationsPar VamosAxel • 7 Mai 2025 • Étude de cas • 1 006 Mots (5 Pages) • 45 Vues
CG 1A
ETUDE DE CAS
LES FACTEURS DETERMINANTS DES CHOIX DE PRODUCTION
VIDEO :
1) Ici, les éléments nécessaires à la fabrication des produits sont :
Le facteur travail : aspect quantitatif (47 employés), qui se qualifient de plus en plus avec l’ancienneté (aspect qualitatif).
Le facteur capital, qui est l’ensemble des moyens de production matériels utilisés pour produire des biens et services : caisses, monte-charges, machines
2) Les évolutions en termes de choix de production :
1 million d’euros d’investissement qui ont permis de renouveler 50% des machines, de plus en plus d’embauche (4 CDI en 2018 en plus), embauche d’un développeur numérique à temps plein pour automatiser le plus de tâches en interne.
I) Le travail, élément clé des entreprises
1) NP6 est une entreprise spécialisée dans les services informatiques pour les professionnels. Elle compte aujourd'hui 80 employés qui sont qualifiés dans leurs domaines respectifs.
Pour renforcer son expertise, l'entreprise a acquis la start-up bordelaise Ezakus en 2017, ce qui lui a permis d'intégrer de nouveaux talents supplémentaires. Actuellement, NP6 recrute une dizaine de profils qualifiés pour répondre à la demande et viser la première place sur son marché.
Chez Décathlon, la gestion des caisses a été automatisé, permettant aux équipes de se recentrer sur des rôles plus qualitatifs, comme l’accompagnement des clients.
2) Pour rester compétitive, une entreprise a besoin de facteur travail compétent. Ici, NP6 utilise 2 stratégies différentes : le rachat d’une start-up qui a déjà les bons profils et un recrutement basé sur une recherche de profils qui possèdent les compétences manquante à l’entreprise.
3) Les entreprises Monin et Diam Bouchage utilisent à la fois du facteur travail et capital.
Diam Bouchage emploie 480 employés dans le monde entier et a investit dans un nouveau procédé révolutionnaire et breveté.
Monin emploie elle 690 employés dans le monde entier, et a investit 25 millions d’euros dans la création de six chaînes de production, des laboratoires et des bureaux.
4) Les entreprises Monin et Diam Bouchage combinent à la fois capital financier et main-d'œuvre qualifiée. Elles actualisent leurs outils de production pour rester compétitives. Leurs investissements soutiennent une innovation continue, leur permettant de proposer régulièrement de nouveaux produits ou d'optimiser leurs processus.
Ces évolutions facilitent également un meilleur ancrage territorial, que ce soit pour se rapprocher des consommateurs ou des fournisseurs de matières premières, notamment grâce à leur déploiement à l'international.
II) Les coûts de production et la recherche de gains de productivité
1) Le coût de revient d’un bien est constitué du coût d’achat des matières premières, des salaires, du transport, de la marge de la marque, de l’usine et du magasin, des frais généraux et des intermédiaires.
2) L’amélioration de la productivité est une des conditions de la survie d’une entreprise puisqu’aujourd'hui, la concurrence internationale est forte, surtout pour les métiers qui nécessitent beaucoup de main-d’œuvre. Pour rester compétitives, les entreprises doivent trouver des solutions.
Par exemple, en France, la récolte des olives est un secteur fragile car elle dépend beaucoup de travailleurs saisonniers. L’entreprise Pellenc a développé une machine qui permet de récolter plus d’olives avec moins de personnes, augmentant la productivité de 25%.
Cette innovation a déjà montré son efficacité au Maroc, où elle a divisé par deux le coût de la récolte et compensé le manque de main-d’œuvre pendant certaines périodes.
3) Quand les taux d’intérêts sont bas, les entreprises empruntent à moindre coût, ce qui rend leurs investissements plus rentables. Logiquement, cela devrait booster leurs projets. Par exemple, entre 2018 et 2019, les prêts aux entreprises ont grimpé de 6,5 %. Néanmoins, un taux bas ne fait pas tout, il faut aussi que l’entreprise ait un vrai besoin d’investir et que les débouchés soient là.
...