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La mentalité empoisonnée dans la scientificité des étudiants en RDC.

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Par   •  28 Décembre 2016  •  Étude de cas  •  6 930 Mots (28 Pages)  •  628 Vues

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« Science sans conscience n’est qu’une ruine de l’âme. »

FRANÇOIS RABELAIS

AVANT-PROPOS

Après la délivrance biblique, la délivrance scientifique est venue également suscitée et rappelée la conscience humaine pour préparer et faire des responsables dignes de notre nom. C’est pourquoi l’homme a mit la science à la deuxième place à l’humanité pour changer le système de réfléchir pour une évolution moderne, qui est la renaissance de l’homme, car la science de ses règles met l’homme au centre du développement. C’est pourquoi, nous étudiants, devons savoir distinguer le mal et le bien, afin d’orienter notre conscience vers un développement harmonieux et durable.

Comme les disent, le développement d’un pays dépend de son évolution, mais le contraire est vrai en République Démocratique du Congo. L’héros africain, NELSON MANDELA avait dit dans l’un de ses discours au sommet de l’union africaine, « le développement d’un pays, c’est l’éducation.»

De part ce sujet bien perçu sur le monde scientifique, les étudiants en République Démocratique du Congo bafouent les règles scientifiques, car ils n’arrivent pas même à marier la science et la conscience, alors que ces deux éléments doivent nécessairement évolués ensemble. certains manipulés par les politiques et d’autres par l’esprit tribal , acte qui fait à ce que les étudiants deviennent les rebelles entre eux , paradoxalement, jadis quand les étudiants se rencontraient , c’étaient comme les anges et qui cherchaient à développer ses idées sur le plan scientifique , aujourd’hui rien que des discussions politique et d’autres sur les inégalités ethniques.

Dans le cadre d’accueillir les nouveaux étudiants dans des universités, les autorités académiques avaient considérées un petit nombre, nommés éclaireurs pour la mission d’accueil des ces derniers, mais aussi dans le cadre d’accompagner le gouvernement congolais dans le maintien de l’ordre aux établissements et entre les étudiants.

Le contraire est que, ces éclaireurs ont pris la casquette de la brigade car au lieu de s’occuper de la mission qui leur a été confiée (accueil des nouveaux étudiants et maintien de l’ordre au sein des établissements), ils semblent être maintenant à la base du désordre, des insurrections, des suspensions des cours illégalement à cause de leurs désorganisations, même des conflits entre les institutions, les conflits ethniques , les politiques tribales, car chaque brigade cherche à protéger son institution.

Voilà un cercle vicieux des différends qui tournent en République Démocratique du Congo au sein des universités, de mal en pire aux intellectuels, auxquels la société congolaise compte de plus, au lieu de perdre l’espoir de cette jeunesse. Mais semble que cette jeunesse ignore ce qu’elle est.

En observant dans les universités, au lieu de trouver les éclaireurs, ces derniers se substituent en brigades avec des objets tranchants, les armes blanches, en disant c’est pour garantir notre sécurité.

La question qu’on se pose, et de savoir si aux universités nous avons des militaires ou soit les étudiants, car la question est simple à répondre ,d’autant plus qu’aux universités n’est pas encore un lieu scientifique mais considéré aujourd’hui comme un champs de bataille ; nous qualifions qu’on fur et à mesure les milieux universitaires au Congo seront qualifiés par le monde scientifique , les zones rouges, chose qui ne pousse pas les nouveaux candidats à affronter la carrière universitaire. La question d’ignorer ce qu’on est ? , qui on est ?, on cherche quoi ?, de quoi l’avenir espère à moi ? , ces genres des questions pourraient être à la base des magouilles aux étudiants.

En affirmant « science sans conscience n’est qu’une ruine de l’âme », un adage très appliqué à des étudiants au Congo.

La société pense que les intellectuels sont des gens capables pour changer le pays, mais aujourd’hui, étudier ou ne pas étudier sont deux mot qui semblent être égaux en république démocratique du Congo ; parce que le résultat des nos intellectuels semble être le contraire pour cette société.

Corrompre les étudiants pour perturber l’ordre universel de la société, est devenu un moyen facile pour les politiques, sans que nous sachions que les questions politiques sont résolues toujours par les politiciens, car les questions politiques ne concernent pas les étudiants mais aujourd’hui ces derniers sont manipulés par ceux-là dont la politique est leur fonction.

S’intéresser à développer la science est un assombrissement pour les étudiants au Congo ; mais se donner à des barbaries, c’est une grande lumière pour eux, car les lieux où on pense ne pas trouver les étudiants, ce sont les lieux où maintenant ils sont plus visibles plus que tout le monde, notamment dans les manifestations politiques, les barricades des routes, les boites illicites des fumeurs de chanvres et des buveurs d’alcool. Ce qui nous pousse à ne pas savoir distinguer qui est étudiant et qui n’est le pas, étant que les actes manifestés par les étudiants au Congo sont qualifiés très archaïques, qui vandalisent les populations par des manifestations qui ne leurs concernent pas.

La jeunesse c’est l’avenir de demain, si vrai pas cette jeunesse ivre, une jeunesse inconsciente ; barbare et irresponsable, mais c’est une jeunesse responsable de leurs actes, les erreurs doivent être corrigées par nous mêmes et pour nous-mêmes. Tapis aux étudiants congolais qui sont considérés comme les poupées des politiciens, les autres les surnomment la chèvre de monsieur Séguin.

Le mot étudiant était qualifié dans la société comme sauveur ; correcteur ; mais aujourd’hui il est entendu pour désunir, scandaliser et vandaliser les sociétés. Quel regard le monde de la science porte aux étudiants congolais ?, une considération aux inconscients ; la réponse facile pour les autres et les uns, aux animaux qui se donnent à étudier, les rebelles, les terroristes de la science.

N’est-ce pas que nous sommes des génocidaires de la science car nous nous battons pour ne pas respecter ce qu’on nous enseigne,

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