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Analyse de situation compétence 7

Analyse sectorielle : Analyse de situation compétence 7. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  18 Janvier 2023  •  Analyse sectorielle  •  1 596 Mots (7 Pages)  •  288 Vues

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Josué LE CADRE

Promotion 2021-2024

Référent pédagogique : Véronique JACQUELINE

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Analyse de situation

Stage S3.1

Institut de Formation en Soins Infirmiers

Centre Hospitalier Le Mans

SOMMAIRE

    Introduction…………………………………………………………………………

1- Description………………………………………………………………………….

2- Questionnement…………………………………………………………………….

3- Analyse……………………………………………………………………………...

4- Conclusion…………………………………………………………………………..

5- Bibliographie………………………………………………………………………..

Introduction :

J’ai choisi cette situation, lors de mon stage que j’effectue en ce moment dans une unité de soins long durée (USLD) près du Mans, dans le cadre de ma formation en soins infirmiers. Au sein de ce milieu de soins je suis en contact avec une population de personnes âgée. Ce sont des résidents qui ont tous des pathologies, avec un taux plus ou moins élevé de dépendance qui nécessite un suivie médicale assez important (ex : comparaison à un EHPAD). Au cours de cette situation, je vais analyser le questionnement ainsi que ma pratique soignante lors d’un soin dans un cas particulier. Celle-ci relève de la compétence 7 « Analyser la qualité et améliorer se pratique professionnelle ».

1.  Description de la situation

J’effectue mon stage dans une unité de soins long durée, il est 15h30, je suis en autonomie dans le service sur le tour de l’après-midi. J’ai plusieurs soins à effectuer telles que la prise des paramètres vitaux, pose de collyres, aérosols, injection sous-cutanée, administration de traitements, pansements, préparation et pose de perfusion… « Un jour auparavant, la veille au matin j’avais un bilan sanguin à faire pour une résidente difficile à piquer, celle-ci ne communique pas du à sa pathologie et ne se déplace plus seule. J’ai préparé mon plateau pour effectuer mon soin, je frappe à la porte et entre dans la chambre. Je réveille tranquillement la résidente puis après quelques instants met le garrot pour repérer ses veines. Or cette dame est très raide, crispé et remplit d’œdème sur l’entièreté du corps, alors après plusieurs minutes j’appelle ma collègue car je sent aucune veine et je me sent pas confiant pour réaliser le soin. Ma collègue infirmière essaye de mettre le garrot à la cheville afin de piquer sur le pied, malheureusement cela a été sans succès, appart la marque du garrot et de son pouce sur le pied du aux œdèmes important pas de sang dans le tube. Avec ma collègue nous sortons de la chambre et discutons de l’état générale de la résidente en se posant des questions. « Nous sommes inquiète de son état, le volume de ses membres à véritablement augmenté, nous suspectons un œdème généralisé ».

Au milieu de mon tour de l’après-midi, j’arrive au niveau de la chambre de la résidente en question, je voit sur la prescription médicale et dans mon plateau, une perfusion pour cette dame, 500ml de G5 % à poser en sous cutanée sur 12h. Suite à la réflexion que j’avais eu la veille avec ma collègue concernant cette résidente rempli d’œdème, était-il vraiment logique et pas dangereux pour elle de continuer à la perfuser. Le médecin était apparemment au courant mais sans les résultat du bilan sanguin ne voulait pas arrêter de la perfuser. Je suis donc aller dans le bureau infirmier demander à une infirmière si cela est  normal que la résidente en question ait encore une perfusion de 500ml de G5 % de prescrite, et sans trop chercher à comprendre elle me dit « oui il faut lui poser ! ».

Je suis sorti du bureau en trouvant cela bizarre puis dit « d’accord ».  Je suis aller finir mon tour de l’après-midi. J’ai en moi la culpabilité d’avoir réaliser cet acte pour moi non adapté au vu de l’état clinique de la résidente et de plus sans son réel consentement, du faite que je n’ai pas eu de communication de sa part.

2.  Questionnement

Suite à cette situation, je me suis posé plusieurs questions :

- Ai-je bien fait de me questionner au vu de la prescription médicale ?

- Aurai-je du réagir autrement et jusqu’où va notre rôle propre ?

- Aurai-je du intervenir différemment dans le partage d’information au médecin pour qu’il saisisse la gravité de l’état de la patiente ?

- Ai-je fais un choix éthique en privilégiant l’avis du médecin à l’encontre de mon raisonnement clinique ?

Je vais analyser ces différentes questions tout en essayant d’y amener des réponses plus précise et développé au cours d’une 3e partie, l’ analyse.

3.  Analyse

Tout d’abord je me remet dans le contexte. J’effectue mon stage avec une population de personnes âgées touchant plusieurs pathologies : cardio-vasculaires, neuro-psychiatrique, broncho-pulmonaire, dermatologiques et plusieurs autres maladies chroniques. Les résidents du services sont catégorisés par GIR qui est le groupe iso-ressources, cela correspond au niveau de perte d’autonomie d’une personne âgées. Il est calculé à partir de l’évaluation effectuée à l’aide de la grille AGGIR. Il existe six GIR : le GIR 1 est le niveau de perte d’autonomie le plus fort et le GIR 6 le plus faible. Dans le cas de ma situation la résidente, Mme X est déterminer d’un GIR 1, en effet elle est dépendante totalement pour tout actes de la vie quotidiennes et s’exprime seulement part le regard. Cette résidente est ce qu’ont appel «grabataire» car reste au lit la majeure parti du temps ou dans un fauteuil confort à l’aide d’un lève personne.

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