Estimation de la méthode de répartition des charges indirectes

Concernant la Matière Première de l’AS 300, les écarts sur quantités sont favorables dans deux cas sur trois, cela s’explique par une consommation moins importante que prévu dans les ateliers un et trois. Les écarts sur prix sont favorables dans les ateliers deux et trois, mais particulièrement défavorable dans l’atelier un.

L’écart sur main d’ouvre direct est peu significatif, dans la mesure où la production réelle est inférieure à la production prévue.

Pour les charges indirectes dans l’atelier deux, l’écart sur budget est défavorable, à ce stade d’analyse, on ne peut pas savoir s’il s’agit d’un dérapage des charges fixes ou des charges variables. S’agissant de l’écart sur activité, celui-ci nous montre que les charges fixes ont bien été utilisée (car l’activité réelle > l’activité préétablie). L’écart sur rendement indique une sur consommation d’unités d’œuvre, l’activité réelle est supérieure à l’activité préétablie.

Appréciation du mode de répartition des charges indirectes

Au niveau des 4 ateliers, l’unité d’œuvre choisie pour l’imputation des charges indirectes est l’heure de la main d’œuvre. Cela signifie, qu’il existe un lien, entre le volume des heures de main d’œuvre, et le montant des charges indirectes consommées. A travers de notre étude, aucun élément ne permet pas de vérifier cette corrélation, bien au contraire, l’entreprise dispose d’un matériel à la pointe de la technologie, donc sophistiqué, qui nécessite peu de main d’œuvre.

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