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Etude De Cas: VULLI, Analyse du portefeuille de produits (l'offre de l'entreprise)

Dissertation : Etude De Cas: VULLI, Analyse du portefeuille de produits (l'offre de l'entreprise). Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  9 Juin 2013  •  433 Mots (2 Pages)  •  1 453 Vues

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VULLI

Analyse du portefeuille de produits (l'offre de l'entreprise):

Le positionnement : haut de gamme avec une image de fiabilité perçue parles clients. La qualité est importante (d'où l'utilisation de matériaux adéquats quel de le latex qui comporte peu de risques pour les enfants/durable). Utilisation de caoutchouc naturel.

Les clients : jouets destinés aux jeunes enfants (1er âge, dès 3 mois), doncles acteurs potentiels sont les parents ou l'entourage d'une famille comptant un nouveau-né. Les jouets sont destinés à des particuliers (acheteur/consommateur final).

Les caractéristiques du produit : Sophie la Girafe est un produit destiné à un public mixte. Il s’agit d’un produit peu fragile (en latex) ayant de ce fait une longue durée de vie (par contre courte période d’utilisation bien souvent).

La protection intellectuelle : Vulli possède une licence d'exploitation pourSophie la Girafe et il s’agit d’une marque déposée partout dans le monde.

Le niveau d'adaptation : les packagings sont adaptés aux pays dans la mesure où ils sont traduits dans les 7 langues principales européennes.

Vulli et la Fédération du jouet réagissent à l'étude de l'UFC-Que Choisir

Mercredi 30 novembre, l'UFC-Que Choisir annonçait la sortie prochaine d'une étude sur la toxicité des jouets premier âge. Vulli, le fabricant de la célèbre Sophie la Girafe, et la Fédération française des industries du jouet et de la puériculture réagissent.

Dans un communiqué diffusé le 30 novembre 2011, l'UFC-Que Choisir demandait aux pouvoirs publics de renforcer les normes concernant la toxicité des jouets pour les tout-petits, en vue "d'interdire la présence des HAP (dérivés pétroliers) classés cancarogènes certains, probables et possibles ainsi que les nitrosamines et leurs précurseurs".

Aujourd'hui, la Fédération des industries du jouet et de la puériculture (FJP) réagit fermement et rappelle que "la recherche d'une sécurité maximale est une vraie culture au sein de la filière et que tous les industriels s'engagent par une vigilance de tous les instants, et l'existence de normes strictes, à respecter conformément toutes les procédures de réglementation européenne en vigueur." Une réglementation d'ailleurs récemment renforcée via la nouvelle directive sur le jouet 2009/48/CE entrée en vigueur en juillet dernier.

Cité dans le communiqué de l'UFC-Que Choisir, Vulli, fabricant de la célèbre Sophie la Girafe, s'insurge également , rappelant que depuis 50 ans, son processus de fabrication est resté inchangé : "Vulli transforme du caoutchouc naturel issu d'un arbre, l'hévéa. Ce n'est ni de l'élastomère, ni du plastique. [...] Le caoutchouc naturel assure une utilisation de Sophie la Girafe sans risque et en toute sécurité. "

Le fabricant ajoute que le "fait de diffuser des informations non fondées ou incomplètes qui porteraient préjudice à la société Vulli est condamnable. Il en sera donc demandé réparation par voie judiciaire."

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