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Analyse Dun laboratoire d'oxyderéduction

Étude de cas : Analyse Dun laboratoire d'oxyderéduction. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Novembre 2021  •  Étude de cas  •  845 Mots (4 Pages)  •  243 Vues

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Mohamed-Amine Ben Njima

 Discussion:

Le but de ce laboratoire a été de préparer du cuivre par réduction de sulfate de cuivre (II) et de déterminer la concentration utilisé d’une solution de sulfate de cuivre (II) en mol/L. Sachant que le sulfate de cuivre (II) (CuSO4) est un sel et que, lors de sa dissolution, ce sel forme des ions de Cu2+ et des ions polyatomiques de SO42-       (CuSO4(s)        Cu2+(aq) + SO42-(aq)), on peut en conclure que pour pouvoir former du cuivre métallique solide à partir du sulfate de cuivre (II), il faudra fournir deux électrons supplémentaire au cuivre pour qu’il se transforme en cuivre métallique. Et pour ce faire, il faudra prendre un métal qui retient ses électrons moins bien que le cuivre. En effet, le métal qui retient moins bien ses électrons que le cuivre sera obligé de laisser aller ses électrons et devenir un ion pour que l’ion cuivre puisse obtenir les électrons qui lui manquent pour se transformer en métal. [pic 1]

Et dans ce laboratoire, nous avoir utilisé du zinc comme métal qui était le donneur d’électrons, et comme nous l’avons prédit, puisque le zinc retient moins bien ses électrons que le cuivre, la réaction qui s’est produite entre le sulfate de cuivre (II) et le zinc a fait en sorte que le zinc donne ses électrons au cuivre pour former du cuivre solide (CuSO4 + Zn        Cu + ZnSO4). Lors de cette réaction, on a pu observer une augmentation de chaleur et un effet d’effervescence, c’est à dire un dégagement de bulles de gaz (H2) dû à la réaction entre le zinc et l’acide chlorhydrique (Zn + 2HCl = ZnCl2 + H2) qui nous montrait que la réaction était encore en cours. On a aussi pu observer que la solution avait perdu sa couleur bleu, dû aux deux électrons manquant du cuivre (Cu2+), pour devenir parfaitement incolore avec un dépôt de cuivre solide à la fin de la réaction. Par la suite, après avoir nettoyé le cuivre du surplus de zinc et après l’avoir asséché, on a pu mesurer la masse du cuivre obtenu après la réaction en soustrayant la masse du filtre et du verre de montre de la masse totale du filtre, du verre de montre et cuivre solide. Et à partir de la masse de cuivre obtenue (0,55g , de sa masse molaire ainsi que du volume de la solution initiale, on a pu déterminer la concentration expérimentale de la solution inconnue de sulfate de cuivre (II), qui était de 0,35 mol/L avec une incertitude de ± 0,03 mol/L. On remarque que cette donnée se rapproche très fortement de la concentration réelle du la solution inconnue de sulfate de cuivre (II), qui est de 0,35 mol/L, avec seulement un pourcentage d’écart de 1,09%, ce qui donne de la crédibilité a nos données expérimentales et valide nos résultats. On peut en conclure que le pourcentage d’écart entre concentration expérimentale et la concentration réelle est acceptable.[pic 2]

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