Récession économique mondiale et zoom

                                                          ÉCONOMIE

Nous traversons une récession économique mondiale très sévère. Comment gérer le début de cette crise évitera ou non l'effet domino.

 À court terme, il est nécessaire que l'État aide les entreprises à éviter les défaillances, évitant ainsi les crises de liquidité. Avec les cessations de paiement à cause de la crise sanitaire que l’on traverse, le chiffre d’affaire des entreprises sont en chutes libres. Nous faisons face également a un risque bancaire. En effet, les banques sont dans l’obligation de refus de prêter de l’argent a cause de leur difficuté ce qui provoque une crise de liquidité pour les entreprises ce qui provoque une crise financière. L’état doit également faire face a l’explosion de la dette publique pour faire face au PIB négatif ainsi qu’a l’annulation des recettes fiscales.

A long terme, on sait que l'euro a des problèmes structurels car les différents pays qui utilisent la monnaie ne sont pas les mêmes. Nous sommes en développement non proportionnel, ce qui crée des incohérences. La monnaie peut perdre de la valeur. 

La crise financière que l’on peut faire face aura pour conséquence un chômage de masse, rétention sociale et cessation de paiement en cascade.

                                                          DROIT

Normalement, Zoom s'assure que ses données utilisateur ne sont "pas vendues" et est conforme au Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD). 

Zoom reste particulièrement intrusif, comme l’illustre la liste des données que l’entreprise annonce recueillir dans sa politique de confidentialité : nom, adresse mail, numéro de téléphone, adresse postale, adresses IP, «genre d’appareil que vous utilisez», «la version du système d’exploitation et l’identifiant de l’appareil», «l’endroit où vous vous trouvez »

L’entreprise assure néanmoins qu’elle n’utilise «aucune donnée obtenue via l’utilisation de ses services, y compris les réunions en ligne, pour des motifs publicitaires» et qu’elle ne vend à aucun moment vos données personnelles à des tiers. 

Selon l’entreprise, les données récoltées sont donc désormais uniquement utilisées pour assurer le bon fonctionnement du service 

Mais une autre source d’incertitude réside dans l’avenir de la société, qui pourrait susciter des appétits compte tenu de sa popularité. Comme le rappelait leur politique de confidentialité, les données personnelles font partie des actifs de l’entreprise, elles sont donc susceptibles de faire l’objet de transactions en cas de rachat total ou partiel de l’entreprise. 

A noter que même si les données recueillies par Zoom sont hébergées aux Etats-Unis, les transferts de données hors Europe sont soumis au Règlement général sur la protection des données (RGPD) 

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