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EDM SIO 2

TD : EDM SIO 2. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Décembre 2018  •  TD  •  396 Mots (2 Pages)  •  615 Vues

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Synthèse sur le droit d’expression des salariés dans le cadre du travail

Idées de points à développer en structurant l'analyse et à illustrer avec des exemples issus de la jurisprudence :

  • définition du droit d'expression au travail, injure, diffamation
  • que peut-on dire et ne pas dire, quels propos
  • quelles sont les limites fixées par la jurisprudence,
  • où peut-on s'exprimer ou pas,
  • les salariés ont-ils tous les mêmes droits (quels droits pour quels statuts ?),
  • le statut juridique peut-il être un facteur de décision pour les juges,
  • quand les salariés sont-ils sanctionnés, quand les injures ou diffamation sont-elles sanctionnées
  • quelles sont les sanctions possibles,
  • ………………...

=> conclure en donnant des conseils aux salariés sur les précautions à prendre lors de l’utilisation des réseaux sociaux et des propos qu’ils peuvent y tenir.

Exemples de jurisprudence

Licenciement

Pas de licenciement

Arrêt maladie et sur FB, photos vacances, dit que « ça va être très dur de reprendre » = faute grave

Conversation sur groupe FB de 14 personnes = propos tenus dans un groupe peu nombreux = espace privé

Sur mur FB, « mettre le feu à cette boite de m... » = espace public

Propos diffamatoires ne peuvent pas annuler une promesse d’embauche

Dénigrement entreprise et hiérarchie en MP ou non sur FB (commentaires publics) = faute grave car espace public

Insultes d’un supérieur au travail par un salarié = le licenciement a été considéré comme excessif dont sans cause réelle et sérieuse

Compte Twitter, salarié raconte de manière anonyme les mauvais côtés = espace public non paramétrable = mise à pied

Sur page FB de la section syndicale, propos injurieux vis à vis de l’entreprise et de la direction = mise à pied seulement car propos tenus à la suite du suicide d’un collègue et élu CGT mais pas représentant syndical dans l’entreprise

Employé publie sur la page FB d’un quotidien régional des propos diffamatoires / à son supermarché (ouverture des magasins le dimanche) = faute grave

Propos injurieux sur conditions de travail et injures sur FB dans un hypermarché (?) = faute grave mais licenciement annulé par cour de cassation car preuves récupérées de manière illégale

Employé fouille sur compte FB d’une collègue via son tél et trouve des dénigrements de l’ent = preuve récupérée de manière illégale, pas de sanction

Insulte d’un client via un courrier en recommandé par un salarié = mais l’entreprise n’a pas pu retrouver la lettre = pas de preuve

...

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