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Réflexion argumentée Politique de la concurrence et croissance économique

Dissertation : Réflexion argumentée Politique de la concurrence et croissance économique. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Mars 2017  •  Dissertation  •  1 126 Mots (5 Pages)  •  1 437 Vues

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Introduction QRA n° 2 : Politique de concurrence et croissance économique.

La politique de la concurrence vise à maintenir un niveau suffisant de concurrence au sein d’une économie. Elle porte pour l’essentiel sur :  le contrôle des ententes entre entreprises, la lutte contre les abus de position dominante, le contrôle des concentrations et les actions en faveur de la qualité de l’information des consommateurs.

{▲PIB = CI + CF + FBCF + (X – M) ± ▲S}

Problématique : Mesures protectionnistes ou politique de concurrence ?

  1. La pensée libérale dominante croit qu’il existe une relation positive entre politique de la concurrence et croissance économique :

1-1 : Aussi bien au niveau national

Dans une logique libérale, chaque marché s’autorégule par l’intermédiaire des prix, ce qui permet d’atteindre une situation d’équilibre qui satisfait tous les agents.

Selon J.B. Say, la loi de l’offre et de la demande est le processus par lequel la flexibilité du prix, toutes choses égales par ailleurs, conduit à un prix d’équilibre qui assure l’égalité des quantités offertes et demandées sur un marché.

        L. Walras, a par ailleurs, formalisé la théorie du marché autorégulateur en déterminant les conditions de la concurrence pure et parfaite en montant que, sous ces conditions s’établit un équilibre général.

        La loi Macron a pour objectif la libéralisation des professions réglementées au nom de l’efficacité économique, en intensifiant la concurrence et en baissant les prix, de façon à inciter à l’innovation, accroître l’emploi et, finalement, relancer la croissance.

1-2 : qu’au niveau international

On retrouve alors trois volets principaux quant au développement du marché internationale, de la concurrence et à la recherche de la croissance économique.

Selon, le classique A. Smith ,  l’échange international provient de différences absolues de productivité.

La théorie des avantages absolus désigne l’analyse du commerce international développée par A. Smith dans recherches sur les causes de la richesse des nations 1776. Chaque pays doit valoriser son avantage absolu, c’est-à-dire la production pour laquelle il est le plus efficient. Elle repose sur l’hypothèse d’une mesure des couts de production en heures de travail (théorie de la valeur travail).

        Ricardo fonde l’origine de l’échange international sur des différences relatives de productivité : à la différence du modèle smithien, tout pays peut désormais participer au commerce international dès lors qu’il est différent, même s’il dispose d’un désavantage absolu dans les deux biens.

        Cependant, le modèle de Ricardo revêt un caractère statique : à ce titre, il ne peut rendre compte des évolutions dans la spécialisation d’un pays. De plus, l’approche ricardienne repose sur un commerce interbranche et ne peut à ce titre rendre compte de l’existence du commerce intra branche et de son essor contemporain.

Le modèle HOS (Heckscher-Ohlin-Samuelson) fonde l’échange international sur des différences dans les dotations relatives de facteurs.

        Les hypothèses de base du modèle HOS, peuvent être explicitées à l’aide un exemple. Soit deux pays (La France notée F, et l’Argentine notée A), deux facteurs de production (le capital notée K, et le travail notée L), deux bien (la voiture et le blé).

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