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Economie: le marché

Note de Recherches : Economie: le marché. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  23 Février 2014  •  4 322 Mots (18 Pages)  •  779 Vues

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Concurrence : Le marché est les lieux de confrontation entre une offre et une demande d’un bien ou d’un service qui permet de déterminer un prix d’échange de ce bien et les quantités qui seront échangé. Une offre est la quantité de bien et de service qu’un offreur est prêt à échanger selon un certain prix. La demande est la quantité de bien ou de service qu’un acheteur est disposé à acheter en fonction de son prix.

Plus le prix baisse, plus on va acheter en quantité et donc plus la demande est élevé. La fonction de demande est décroissante du prix. A l’inverse pour l’offre, on parle de maximisation du profit, on accumule du capital. Plus le prix augmente, plus je suis incité à produire. La fonction d’offre est une fonction croissante du prix. Les courbes évoluent de façon contraire par rapport aux variations du prix. Adam Smith qui fait partie des classiques montre qu’il y a une certaine main invisible qui viendrait naturellement réguler les marchés qui donnent un prix d’équilibre assorti à une quantité d’équilibre. L’offre est donc égale à la demande. La concurrence est une situation de marché dans laquelle il existe une rivalité entre offreur et demandeur. Le néoclassique, c’est le standard de l’économie, la concurrence pure et parfaite selon eux doit respecter 5 conditions :

- L’atomicité des marchés : sur un marché il faut un très grand nombre de demandeur et un très grand nombre d’offreur, personne ne peut dominer le marché

- La libre entré et sorti de ce marché

- L’homogénéité du produit : le produit offert doit être le même pour tout le monde, il ne faut pas de différenciation

- La mobilité des facteurs de production (capital et travail)

- L’information parfaite : les offreurs et demandeur doivent avoir les mêmes infos sur le produit

Toutefois, cette concurrence est un mythe elle n’existe pas. On peut parler de concurrence parfaite, le Price taking (preneur de produit), les individus ne sont pas capables de proposer les prix. De plus le prix est le seul déterminant du choix. Toutefois, la concurrence imparfaite caractérise le plus de domaine. Le monopole c’est lorsqu’on a un seul offreur face à une multitude de demandeur (SNCF). Le monopsone, on a un seul demandeur face à une multitude d’offreur (l’armé)

Oligopole : C’est la structure d’un marché dans lequel l’offre est réalisée par un petit nombre de grandes entreprises face à un grand nombre de demandeur. Ainsi le nombre d’entreprise offreuse est alors si réduit que chacune peut agir sur le prix tout en faisant attention à la concurrence. Ils vont mettre l’objet à un prix plus élevé pour gagner plus. (La téléphonie). On peut avoir une entente pour proposer des prix plus élevé que le marché.

Microéconomie : C’est une approche économique qui vise à rendre compte les comportements individuelles d’agent optimisateur, on est dans une démarche individualisme dans la mesure où ce sont les comportements individuelles qui sont explicatif des phénomènes sociaux (le chômage). Les agents sont rationnelle, dans tous les cas qui s’offre a eu, les agents prendrons la meilleur solution. On est dans une logique d’efficience du profit pour les demandeurs, car quand les prix augmentent on va produire plus. Au finale l’individu est capable d’agir rationnellement en classant ces besoins en fonction de l’utilité qui l’en attend.

Macroéconomie : C’est une approche économique qui vise à rendre compte des agrégats dans une optique de régulation de l’activité, on est dans une démarche globale dans le sens ou ce sont les grandes fonctions économiques qui sont le fruit de l’agrégation des décisions individuelles des agents économiques. La finalité est de mesurer les relations dans l’optique d’orienter les politiques économiques.

Keynésianisme : ce sont les idées de Keynes (1883/1946), c’est lui qui caractérise l’économie en termes de circuit. Il parle de l’univers de la totalité ce qui montre que la démarche est plutôt globale.

Question 1 :

Les deux représentations de l’économie sont :

- Circuit économique : on cherche à analyser les conditions de fonctionnement et de reproduction de l’économie, ça repose sur les fonctions économiques

- Marchés : on essaye d’analyser la rencontre des offres et des demandes individuelles des différents biens et services

Question 2 :

Sur le marché l’interdépendance se traduit par les prix qui expliquent l’interdépendance entre les individus, cela même à un individualisme méthodologique. Le rôle fondamental est basé sur les individus. De l’affrontassions entre offre et demande va donner place à un prix d’équilibre. Dans cette économie de marchés ont à une régulation spontanée et automatique. Dans cette approche doit se contenter de ses fonctions régaliennes. Les marchés interdépendants les uns aux autres ce qui signifie qu’un équilibre sur un marché va entrainer l’équilibre sur les autres marchés. Les marchés individuelles rendent possible.

L’interdépendance en termes de circuit se traduit par la grandeur des agrégats, à travers les anticipations des agents. On est dans l’holisme méthodologique car ce sont les structures économique et sociale qui produisent les comportements individuels. On raisonne en termes de flux. Pour comprendre les flux on va schématiser le circuit :

Pour Keynes la régulation spontanée n’existe pas. Keynes est contre le libéralisme économique. Pour Keynes, l’offre ne crée pas sa propre demande. « L’offre crée sa propre demande » vient de Débouchés de JB SAY. On a une production qui généré des revues qui seront soit consommer, soit investi. L’investissement parle par l’épargne de SAY. Cette consommation et cette investissement va créer des dépenses qui vont créer des débouchés pour la production. Keynes va donner la notion d’anticipation vis-à-vis de la demande effective. Les entreprises vont produire des et des services donc embauché des salariés en fonction des débouchés quels anticipe. On pourrait dire que l’offre s’adapte à la demande. Par la suite Keynes il va faire une équation très simple pour comprendre le circuit. Il part d’une économie fermé. Il va noter Y le produit national ou PIB qui est égale à la consommation des ménages © + l’investissement des entreprises (I) + les dépenses publics (G), Keynes va ouvrir son économie

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