Féminisme

Devoir : Français

Ce qui ne nous tue pas, nous rends plus fort. Les pionniers du féminisme ont bien compris cette citation. Elles n’avaient rien à perdre, seulement a y gagne. Enferme dans une routine qui leurs a était imposer, elles n’avaient d’autre choix que de s’imposer. Face aux enjeux des féministe, les Année 1970 ne pouvais qu’évoluer. Les femmes ont trouvé une autre façon de voir, ou plutôt une autre manier de parle. Mais alors, quel est le combat des féministes françaises au lendemain de Mai 68 ? Pour répondre à cette problématique, nous étudierons plusieurs aspecte en mettant en relation un essai celui de Annie Ernaux « Les Années de libération » paru en 2008, une interview de Camille Sarret sur « La fin de monsieur Gagne-pain et de Madame Fée-du-logis » diffuser le 6 mars 2010 sur TV5 Monde et une afficher sur la contraception et l’avortement de Gilles Tautin, paru dans le Planning Familial Confédération Nationale, en 1974. Dans une première partie, nous verrons le combat des féministes, avant d’aborder dans une deuxième partie les obstacles et le les quette des féministes.

Tout d’abord, lorsque l’on dispose de témoignages les récits constituent des matériaux précieux à analyser. Les motifs d’action et les sources idéologiques des femmes sont un départ. Durant les manifestations, les filles défilent aux cotés les garçons, pour dire non à une société qui semble les ignorer. Annie Ernaux nous explique les idées du MLF sur les territoires nationaux à travers le journal le Torchon brule, première publication française consacrée au mouvement des femmes et dont la rédaction est assurée par elles-mêmes, les media multiplier les publications féministes sous plein de forma en occident donnent aux femmes partage un sentiment de partager sur la manier de s’émanciper de la misogynie, et du rôle que la société a des les réduire aux silences en particulier dans les foyers. Le mouvement est tel que les femmes sont écartelées entre le moral et leur étique. Dans son interview Camille Sarret, réponds aux questions d’une manier claire, elle nous fait comprendre que les manifestations et les réclamations des femmes pour leur libertés se fait dans la joie et la festivité. Que le MLF et le Mai 68 développe une dimension collective, avec une organisation de la lutte pour toute personne concerne. L’Afficher, elle nous montre les objectifs de leurs combats pour la liberté des femmes.

Certes, elles peuvent voter, ouvrir un compte bancaire ou signer un contrat de travail sans l’accord de leur mari (depuis 1965 seulement), mais la plupart arrêtent de travailler pour élever leurs enfants. Dans la sphère privée, le père reste le chef de famille exclusif. Il y a cinquante ans, la France était dans la rue pour réclamer des droits et plus de libertés. Les conquêtes ont été nombreuses, notamment pour les femmes. Un héritage qui reste d’actualité. Ensuite, la libération des mœurs, révolution sexuelle, émancipation des femmes. Les événements de mai 1968 ont permis de lever bien des tabous dans la société de l'époque. Un changement profond, l'amorce d'une révolution des mœurs toujours à l’œuvre aujourd’hui. Les militantes féministes veulent se battre sur tous les terrains, en vertu du principe que le privé est politique. Elles rejettent les canons de beauté imposés par le diktat patriarcal, réclament crèches et garderies, demandent à leurs conjoints de partager les tâches domestiques. La révolution sexuelle est passée par là : elles dénoncent viol, inceste et agressions sexuelles, luttent pour l’avortement.

Toutefois les deux personnalités

...